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INFOS MÉDICALES

Le manuel du parfait « siesteur » Une perte de temps, la sieste ? Pas pour Frédéric Ploton, un journaliste écrivain qui lui consacre un ouvrage tout entier (Le guide officiel de la sieste, paru aux éditions Jouvence). Pause essentielle de la journée pour certains, moment de vie volé pour d’autres, le petit somme de l’après-midi ne fait toujours pas l’unanimité. Or il participe à notre équilibre intérieur. Mais attention, « il ne s’agit pas de se vautrer sans règles dans un dodo anarchique », prévient d’emblée Frédéric Ploton, qui en rappelle que la durée idéale est de 20 à 35 minutes. « Apprendre à gérer son temps », « comment faut-il manger à midi pour optimiser sa sieste », « où s’endormir », « créer une atmosphère propice »… L’auteur rentre dans les plus petits détails pour conseiller au « siesteur » débutant la manière idéale pour rejoindre Morphée. Un eczéma qui sent le chat… Décidément, chiens et chats ne sont pas faits pour s’entendre ! Alors qu’une étude allemande mettait récemment en avant l’effet protecteur du chien contre les allergies chez l’enfant, des chercheurs danois arrivent au résultat inverse chez le chat : si votre petit est porteur d’une certaine mutation génétique, grandir aux côtés d’un greffier risque d’augmenter ses risques de développer un eczéma. Le Pr Hans Bisgaard et ses collègues du Centre hospitalier universitaire de Gentofgte, dans la banlieue de Copenhague, ont suivi 379 enfants considérés comme « à risque » du fait d’antécédents familiaux d’allergie. En face, un groupe contrôle de 503 enfants. Chez chacun de ces enfants, la mutation du gène codant la filagrine (une protéine de l’épiderme qui protège contre la pénétration d’allergènes et d’agents infectieux) a été recherchée. « Les porteurs de la mutation génétique avaient deux fois plus de risque de développer un eczéma que les enfants qui en étaient exempts », constate Bisgaard. Quant à la présence d’un chat durant les premières années de vie, « elle a encore plus majoré ce sur-risque, ce qui n’est pas le cas en présence d’un chien ». À cela, point d’explication. « Il s’agit d’un constat, un simple constat sur une petite cohorte d’enfants », conclut Hans Bisgaard. D’autres études devront donc confirmer ou infirmer ces observations. Tonique, la vigne rouge Si les Romains affirmaient pouvoir trouver la vérité dans le vin, d’autres n’hésitent pas à prolonger l’adage par in vitis sanitas ! Trouve-t-on réellement la santé dans la vigne ? Ne nous y trompons pas, il ne s’agit pas ici de développer les thèses de ceux qui tiennent pour un fait que le vin, bu avec modération, serait bon pour la santé. Notre propos n’est en effet pas le fruit, mais la feuille de vigne qui, depuis des temps immémoriaux, est utilisée pour sa richesse en vitamine C, en tanins – qu’on retrouve aussi dans certains vins – et en anthocyanes. Ces dernières substances sont particulièrement appréciées pour leur effet favorable sur les micro-vaisseaux, puisqu’elles sont responsables de l’effet vitamine P dans l’organisme. Les feuilles de vigne en infusions ou en décoction exercent un effet tonique indiscutable sur la circulation veineuse. On les recommande dans les cas de varices ou de crise hémorroïdaire, mais aussi chez les personnes qui souffrent de fragilité des capillaires et sont victimes d’hématomes pour des motifs mineurs. Ou encore celles dont les vaisseaux « claquent » trop facilement, provoquant des hémorragies certes limitées mais disgracieuses. Source : Destination Santé
Le manuel du parfait « siesteur »

Une perte de temps, la sieste ? Pas pour Frédéric Ploton, un journaliste écrivain qui lui consacre un ouvrage tout entier (Le guide officiel de la sieste, paru aux éditions Jouvence). Pause essentielle de la journée pour certains, moment de vie volé pour d’autres, le petit somme de l’après-midi ne fait toujours pas l’unanimité. Or...