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…et une autre à Gaby Tamer

Dans le cadre des efforts de la CCIAB à promouvoir le Salon Rebuilt Lebanon, qui se tiendra en juin prochain à Beyrouth, le vice-président de la CCIAB a préconisé que les firmes européennes et particulièrement françaises soient porteuses d’offre de prix compétitifs à leurs homologues libanais pour compenser la valeur forte de l’euro. Dans ce même prolongement, il a recommandé la tenue en novembre dans la capitale française de la semaine libanaise à Paris, dans le cadre de laquelle des firmes françaises, intéressées par une délocalisation de leur production, à savoir plus particulièrement le remplissage de leurs produits au Liban sous licence, viendraient à la rencontre de leur potentiel partenaires libanais. Selon lui, non seulement le coût du processus de remplissage des produits est moins cher au Liban qu’en Europe, mais les entreprises européennes peuvent faire de ce pays leur plate-forme de distribution pour les pays du golfe. Ceci serait d’un grand avantage pour les opérateurs européens dans la mesure où les produits libanais bénéficient d’une exemption douanière dans les pays de la région. Plusieurs sociétés américaines ont déjà eu recours à un tel procédé. Le PDG de G. Tamer Holding, qui est agent de nombreuses marques internationales, a affirmé que dans beaucoup de cas, Beyrouth est choisi au détriment de Dubaï pour le lancement de nouveaux produits haut de gamme. Il s’agit du constat d’un professionnel rompu au lancement de grandes marques de luxe.
Dans le cadre des efforts de la CCIAB à promouvoir le Salon Rebuilt Lebanon, qui se tiendra en juin prochain à Beyrouth, le vice-président de la CCIAB a préconisé que les firmes européennes et particulièrement françaises soient porteuses d’offre de prix compétitifs à leurs homologues libanais pour compenser la valeur forte de l’euro. Dans ce même prolongement, il a...