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La pomme de terre, star d’un concours photo lancé par la FAO La FAO a annoncé hier avoir lancé un concours mondial de photographie sur la pomme de terre, aliment essentiel pour l’alimentation des pays en développement, dans le cadre de l’Année internationale dédiée au tubercule. L’agence des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO) souhaite à travers ce projet « illustrer l’importance de la pomme de terre pour l’alimentation, l’emploi et les revenus dans les pays en développement ». Intitulé « Zoom sur un aliment mondial », le concours appelle les participants à « capturer l’esprit de l’Année internationale par des images illustrant la biodiversité, la culture, la transformation, le commerce, le marketing, la consommation et l’utilisation de la pomme de terre », indique la FAO dans un communiqué. La pomme de terre, « Solanum tuberosum », est le quatrième aliment le plus consommé dans le monde, après le riz, le blé et le maïs. Plus de 300 millions de tonnes du tubercule sont produites chaque année sur la planète, a précisé NeBambi Lutaladio, qui coordonne l’Année internationale de la pomme de terre à la FAO. 56 millions de dollars dans des boîtes en carton pour échapper au fisc Deux sœurs japonaises ont caché 56 millions de dollars en espèces dans des boîtes en carton, ce qui pourrait constituer le plus important cas d’évasion fiscale jamais mis au jour dans le pays, rapportent les médias. Hatsue Shimizu, 64 ans, et Yoshiko Ishii, 55 ans, ont été arrêtées pour avoir, selon la police, caché des yens qu’elles ont hérités de leur père, investisseur dans l’immobilier à Osaka (Ouest), écrivait hier le Daily Yomiuri, en langue anglaise. Les deux sœurs auraient commencé à retirer de l’argent sur les comptes bancaires de leur père quelques années avant son décès en 2004, écrit le quotidien. Ensuite, elles n’ont déclaré qu’une petite partie de leur héritage et ont payé, par rapport à ce qu’elles possédaient, relativement peu d’impôts, ajoute-t-il. Selon le Yomiuri, Shimizu a dit aux enquêteurs qu’elle avait oublié l’existence de cet argent, dont une grande partie était cachée dans son garage, et Ishii a reconnu les faits. Les cafards à la rescousse des robots Les robots du futur pourront grimper aux murs et zigzaguer sur les toits grâce à des techniques motrices empruntées aux cafards, dont les déplacements, défiant les lois de la gravité, sont exposés dans une étude publiée hier par des chercheurs de Cambridge (Grande-Bretagne). Fruit de 300 millions d’années d’évolution, l’espèce Nauphoeta cinerea utilise deux petits coussinets sous ses pattes pour se déplacer sur les parois, y compris la tête en bas. Des travaux antérieurs avaient permis de montrer que ces coussinets étaient recouverts d’un mince film de liquide gras, dont la composition reste inconnue. Ce film agit comme une gouttelette d’eau coincée entre deux plaques de verre, qui restent fermement collées l’une à l’autre par la tension de surface. Les coussinets du cafard, eux, adhèrent à la surface avec laquelle ils sont en contact si on tire dessus, mais se détachent s’ils sont poussés. Les deux mouvements étant nécessaires au déplacement, un coussinet sert « d’orteil » pour tirer et un autre de « talon » pour pousser, ont constaté les zoologistes Walter Federle et Christofer Clemente, dont les travaux paraissent dans la revue Proceedings of the Royal Society, l’équivalent britannique de l’Académie des sciences. Ces découvertes devraient être utiles aux roboticiens, qui s’inspirent également d’autres créatures aux pattes adhésives, comme les araignées. Des robots hominiformes actuels sont d’ores et déjà capables de monter sur des parois, mais rencontrent de graves difficultés dès qu’il s’agit de redescendre. Leur tête restant orientée vers le haut qu’ils soient en montée ou en descente, leurs pieds, dessinés pour tracter et non pour pousser, ont le plus grand mal lors de la désescalade. Un dauphin sauve deux cachalots en perdition Deux cachalots en danger de mort qui ne parvenaient pas à s’éloigner des côtes en Nouvelle-Zélande ont été « escortés » jusqu’en haute mer par un dauphin, a affirmé hier un responsable de la protection animale. « C’est la première fois que je vois ça, c’était incroyable », a témoigné à l’AFP Malcom Smith. Le dauphin, une femelle surnommée Moko, est parvenue à guider les mammifères au large de la plage de Mahia, sur la côte est de l’île du Nord. Alerté par un riverain sur le sort des cachalots déboussolés par un banc de sable les empêchant de s’éloigner des côtes, Malcom Smith avait essayé en vain de les guider. « Je commençais à avoir froid et à être trempé et les cachalots fatiguaient. J’avais atteint le stade où je pensais qu’il fallait abandonner et que j’avais fait tout mon possible », a-t-il relaté. Dans la plupart des cas, les mammifères épuisés et agonisants sont alors mis à mort pour abréger leurs souffrances. Mais avant d’atteindre cette extrémité, Moko est entré en scène.
La pomme de terre, star d’un
concours photo lancé par la FAO

La FAO a annoncé hier avoir lancé un concours mondial de photographie sur la pomme de terre, aliment essentiel pour l’alimentation des pays en développement, dans le cadre de l’Année internationale dédiée au tubercule. L’agence des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO) souhaite à...