Insolite

Un « trésor » de champignons... Quatre cueilleurs de champignons qui ont trouvé des pièces anciennes dans une forêt privée de Vendée ont été condamnés à des amendes de 200 à 300 euros pour « fouille archéologique sans autorisation ». Les quatre jeunes cueilleurs âgés de 28 à 44 ans ont trouvé les premières pièces anciennes le 24 août en forêt de Grasla aux Brouzils, en plein cœur de la Vendée. Ignorant la législation en matière de fouilles archéologiques et que cette forêt était privée, ils se sont servi, revenant séparément deux à trois fois sur le site pendant deux semaines pour gratter la terre et exhumer le « trésor ». C’est en recherchant sur Internet et en appelant les musées que l’un d’eux a fini par comprendre qu’ils étaient hors la loi. Le chien, très tendance à Pyongyang... pour sa viande En dépit d’une baisse de popularité jusque dans la Corée du Sud voisine, la viande de chien reste très prisée en Corée du Nord, a indiqué un journal nord-coréen. « “Dangogi-jang” est l’un des mets préférés des Coréens », écrit sur son site Internet le Chosun Shinbo, publié au Japon. « Dangogi » (littéralement « viande suave ») avait été choisi par le fondateur de la Corée communiste, Kim Il-sung, comme un euphémisme commode pour désigner la viande de chien. Il est souvent servi dans sa variante « Dangogi-jang » (soupe de viande de chien), également connue comme « la soupe de santé ». En 1988, le voisin capitaliste du Sud avait interdit les mets canins, mais seulement de manière temporaire, par peur d’effrayer les visiteurs qui se rendaient dans le pays pour les Jeux olympiques. La Corée du Nord, elle, ne s’est pas embarrassée d’états d’âme. Dans sa capitale Pyongyang, on y trouve encore de nombreux restaurants de « Dangogi-jang », se félicite le Chosun Shinbo, vantant les vertus médicinales de la viande de chien. Un restaurant a développé un nouveau menu, à base d’intestins et autres organes de chien, assortis de soupe de la même viande. L’engouement est tel que le chien est « devenu aussi rare que n’importe quelle autre viande », témoigne un transfuge du Nord vivant actuellement au Sud.