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Un ministre japonais compare les femmes à des « machines à faire des enfants » Le ministre nippon de la Santé, Hakuo Yanagisawa, était la cible de vives critiques hier, certains appelant à sa démission, après avoir qualifié les femmes de « machines à faire des enfants » lors d’un discours sur le déclin du taux de natalité au Japon. « Le nombre de femmes entre 15 et 50 ans est fixe... Étant donné que le nombre de machines à faire des enfants... est fixe, tout ce que nous demandons est qu’elles fassent de leur mieux », avait déclaré samedi le ministre lors d’un rassemblement du Parti libéral-démocrate (PLD, au pouvoir), selon l’agence de presse Kyodo. M. Yanagisawa, ex-bureaucrate du ministère des Finances, 71 ans, a « demandé pardon pour avoir employé le mot “machine” ». « Je suis désolé d’avoir appelé (les femmes) des machines », s’est-il repenti, d’après Kyodo. Le taux de fécondité des Japonaises a chuté à un plus bas historique en 2005 (1,26). La population nippone, en déclin depuis décembre 2004, est passée de 127,84 millions à 127,77 millions, selon le dernier recensement du gouvernement. Une couche-culotte radioactive déclenche une alerte générale à Genève Une alerte générale, mobilisant pompiers et service de l’environnement, a été déclenchée à Genève, après la découverte d’une couche-culotte radioactive dans un camion de déchets, a révélé ce week-end la Tribune de Genève. Selon un responsable de l’usine de retraitement des déchets de Cheneviers, à Genève, l’alerte a été déclenchée par un produit utilisé en imagerie médicale. Tous les déchets arrivant à l’usine passent un portique de détection, a expliqué Mathias Goretta, un responsable de l’usine, et le détecteur a sonné au passage d’un camion-poubelles qui a été isolé. Aussitôt, la procédure d’alerte a été déclenchée. Des contrôles ont été menés, et des traces du produit radioactif, le technecium 99, ont été trouvées. Selon M. Goretta, la dose de radioactivité était très faible et a été localisée dans une couche-culotte utilisée vraisemblablement par un patient suivant une radiothérapie. La radioactivité du technecium baisse de moitié toutes les six heures, à titre de sécurité, la benne a été mise en quarantaine pour le week-end. Les « claquettes du diable » pour faire danser les jolies filles Dans le plus pur style des westerns américains, des adolescents d’un village de Colombie jouent aux « claquettes du diable » en visant avec leurs tirs de revolver les pieds des jolies filles pour les « faire danser », a rapporté la station de radio colombienne Caracol. Ce nouveau « jeu » qui dure depuis plus d’un an, aussi baptisé « claquettes de la mort », a déjà fait plusieurs blessées parmi les jeunes filles du village de Santa Rosa de Cabal (350 km à l’ouest de Bogota). « Des garçons de 13 à 15 ans, quand ils voient des belles filles dans la rue, ils sortent un revolver et tirent » sur l’espace autour de leurs pieds pour s’amuser à les « faire danser ou courir », a déclaré à radio Caracol le père d’une adolescente blessée, qui a requis l’anonymat. Dans le village, « plusieurs fillettes ont été blessées par balle, l’une d’elles risque de rester invalide à vie et une autre a déjà subi ce jeu stupide à trois reprises », a-t-il expliqué. Les villageois déplorent que les autorités n’aient jusqu’à présent rien fait pour appréhender les coupables et mettre un terme à ce « jeu ». Ils utilisent le doigt d’un cadavre pour cambrioler une banque Des malfaiteurs ont utilisé un doigt sectionné à un cadavre afin de se faire ouvrir la porte blindée d’une banque à la périphérie de Rome, et ne pas laisser derrière eux leurs propres empreintes digitales après s’être fait remettre sous la contrainte quelque 10 000 euros. L’établissement bancaire en question, situé dans le quartier romain Portuense, est équipé d’un système baptisé « Bio Digit » qui relève l’empreinte digitale de l’index de chaque personne qui appuie sur le bouton d’entrée de la banque pour se faire ouvrir le sas. Les malfaiteurs ont cependant commis l’erreur d’« oublier » derrière eux le doigt en question, qui a été retrouvé par la police sur le trottoir devant la banque. « On peut imaginer que le doigt a été conservé dans de la glace pour éviter qu’il ne se détériore. Les enquêteurs mènent des recherches dans toutes les morgues pour vérifier si un doigt ne manquerait pas à un cadavre, ou pour voir si ce doigt pourrait appartenir à quelqu’un qui serait fiché », a souligné Il Messaggero. Accroché à une grue, il fait pleuvoir 75 000 euros sur la foule Un chauffeur de poids-lourd allemand, soulevé dans les airs par une grue, a fait pleuvoir 75 000 euros en coupures de 5 euros sur la foule rassemblée sur une place de Kaiserslautern (Ouest), conformément à un pari qui lui avait permis de remporter un jeu radiophonique. L’opération s’est déroulée sans incident, mais selon des règles strictes, sous la surveillance de 80 policiers, a indiqué la police. 140 personnes avaient été tirées au sort parmi les 13 000 badauds attirés par l’aubaine, qui avaient patienté pendant des heures dans un froid glacial. Les chanceux, qui ne pouvaient utiliser que leurs mains nues pour attraper les billets, sont repartis chacun avec plusieurs centaines d’euros. Marco Hilgert, chauffeur de camion, s’était imposé face à quelque 12 000 concurrents lors d’un jeu organisé par la station de radio privée RPR1, intitulé « Que feriez-vous pour 100 000 euros ? ». M. Hilgert a gagné 100 000 euros parce qu’il avait annoncé qu’il ferait « pleuvoir 75 000 euros sur le Land de Rhénanie-Palatinat ». Un Australien vend son histoire sur le Net Nom, numéro de téléphone, vêtements, ordinateur, planche de surf, photos d’enfance et jusqu’à une histoire d’amour ratée : un Australien de 24 ans a vendu des éléments de sa vie sur le site d’enchères eBay. Pour moins de six mille dollars. L’acheteur n’a pas pu s’emparer de l’identité légale de Nicael Holt, qui conserve son passeport et ses droits d’héritage, mais il devient propriétaire de l’ensemble de ses possessions, jusqu’à une trottinette déglinguée et « une jolie lampe » que lui avait un jour offert une petite amie. Le « nouveau Nicael Holt », dont l’identité n’est pas connue, aura surtout le privilège, pour 7 500 dollars australiens (5 790 USD), de passer Noël avec « ses » parents et d’être présenté à l’ensemble des amis de son alter ego, dont quelques potentielles conquêtes féminines. « Mes amis vous traiteront exactement comme ils m’ont traité. Cela comprend ceux qui m’emmènent surfer, courir, faire de l’escalade... », écrit le vendeur sur eBay. Deux ennemis font cependant partie du lot, ainsi qu’une « certaine tension avec une ex, en raison d’une séparation douloureuse », avertissait l’annonce. Un service après-vente est également inclus : pendant deux mois, l’acheteur peut appeler son « prédécesseur » pour tout conseil qu’il souhaiterait avoir.
Un ministre japonais compare
les femmes à des « machines
à faire des enfants »

Le ministre nippon de la Santé, Hakuo Yanagisawa, était la cible de vives critiques hier, certains appelant à sa démission, après avoir qualifié les femmes de « machines à faire des enfants » lors d’un discours sur le déclin du taux de natalité au Japon. « Le nombre de femmes entre 15 et 50 ans...