La chancelière allemande Angela Merkel a estimé hier que « l’on ne pouvait pas être satisfait » de la réponse de l’Iran sur le dossier nucléaire. « Il ne figure pas écrit (dans cette réponse) ce à quoi nous nous attendions, à savoir que l’on dise : nous suspendons l’enrichissement d’uranium, nous venons à la table des négociations et nous discutons des chances et des opportunités de l’Iran », a dit Angela Merkel. « Il manque la phrase déterminante dans cette réponse, et cela doit être corrigé », a affirmé la chancelière. De leur côté, les États-Unis ont prévenu l’Iran qu’il avait encore quelques jours pour changer de position et décider de suspendre l’enrichissement d’uranium, après quoi il s’expose à des sanctions internationales. Sur un autre plan, le Conseil national de la résistance iranienne (CNRI, opposition) a affirmé hier à Paris que Téhéran a déjà assemblé « au moins 15 centrifugeuses P2 », de deuxième génération, permettant l’enrichissement d’uranium qui « sont en cours de test ».
La chancelière allemande Angela Merkel a estimé hier que « l’on ne pouvait pas être satisfait » de la réponse de l’Iran sur le dossier nucléaire. « Il ne figure pas écrit (dans cette réponse) ce à quoi nous nous attendions, à savoir que l’on dise : nous suspendons l’enrichissement d’uranium, nous venons à la table des négociations et nous discutons des chances...
Les plus commentés
Retour des Syriens : Assad s'impose dans le débat
Nasrallah : Israël n’a réalisé aucun de ses objectifs dans cette guerre
Crise migratoire : un faux dilemme pour le Liban