En bref

Les ouvriers du terminal de conteneurs menacés de licenciement Les syndicats des employés et des ouvriers du port de Beyrouth ont mis en garde l’administration du port contre toute soumission aux revendications de la compagnie qui gère le terminal de conteneurs et qui s’est effondrée à la première crise. Les syndicats des employés et des ouvriers du port de Beyrouth se sont dits prêts eux-mêmes à faire fonctionner le terminal. Dans un communiqué, les syndicats ont souligné que la compagnie qui gère le terminal de conteneurs exerce des pressions de toutes sortes pour contraindre ses employés et ouvriers à présenter leur démission. La compagnie réclame par ailleurs des indemnités au comité de gestion et d’exploitation du port de Beyrouth, en demandant de définir les responsabilités dans le cadre de la suspension des activités du port. Pedersen et Émié reçus par les organismes économiques Les organismes économiques présidés par Adnane Kassar ont rencontré hier tour à tour le représentant du secrétaire général de l’ONU, Geir Pedersen, ainsi que l’ambassadeur de France au Liban, Bernard Émié. Ils leur ont remis le mémorandum des organismes dans lequel ils appellent les pays membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU à intervenir pour l’instauration d’un cessez-le-feu immédiat au Liban et la levée du blocus imposé au pays. Les fonctionnaires ont été priés d’assurer des permanences Dans une circulaire publiée hier, le ministre des Finances, Jihad Azour, a demandé aux fonctionnaires de son département, qui se trouvent dans l’impossibilité de rejoindre leur lieu de travail habituel, d’assurer des permanences dans les unités relevant du ministère et situées dans les mohafazats où se trouve leur domicile.