Actualités
Une délégation du Hezbollah confère avec le directoire du Tachnag
le 04 juillet 2006 à 00h00
Le parti Tachnag a exprimé hier son inquiétude concernant « la situation politique instable dans laquelle se débat le pays », affirmant que « l’expérience de l’année dernière a montré que les tentatives d’une partie politique de monopoliser les décisions engageant le sort du pays aboutissent indubitablement à l’échec ». La direction du Tachnag s’exprimait à l’issue d’une rencontre entre le secrétaire général du parti, Hovig Mekhitérian, et une délégation du Hezbollah, comprenant les membres du conseil politique Ghaleb Abou Zeinab et Ali el-Rezz, en présence des responsables du Tachnag, Ohannès Taslakian et Barouyr Arsène. De son côté, M. Abou Zeinab a souligné que les deux partis estiment que « la situation politique, notamment en cette période, a besoin d’être dynamisée » et qu’il « faudrait pousser les choses vers la mise en place d’un gouvernement d’union nationale qui comprendrait les différentes parties libanaises, qui assumerait ses responsabilités et qui sortirait le Liban de la crise ». En réponse à une question sur la position du Hezbollah concernant un changement gouvernemental, M. Abou Zeinab a noté que le Hezbollah estime « que le gouvernement actuel a rempli ses devoirs et fait actuellement du surplace politique ». Et d’affirmer que la dynamisation du gouvernement implique son élargissement de façon à englober toutes les parties libanaises afin de « pouvoir assumer nos devoirs et nos responsabilités ».
Le parti Tachnag a exprimé hier son inquiétude concernant « la situation politique instable dans laquelle se débat le pays », affirmant que « l’expérience de l’année dernière a montré que les tentatives d’une partie politique de monopoliser les décisions engageant le sort du pays aboutissent indubitablement à l’échec ». La direction du Tachnag s’exprimait à...
Les plus commentés
Retour des Syriens : Assad s'impose dans le débat
Nasrallah : Israël n’a réalisé aucun de ses objectifs dans cette guerre
Crise migratoire : un faux dilemme pour le Liban