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Actualités

Adduction de l’eau : 54 millions de dollars pour réhabiliter 200 stations de pompage

À ce jour, le CDR a conclu des contrats d’une valeur de 535 millions de dollars dans le secteur de l’eau potable. Le plan de travail vise à finir la réhabilitation et l’extension de systèmes d’adduction de l’eau potable sur l’ensemble du territoire, comme à augmenter les ressources d’eau pour couvrir le déficit prévu, en réalisant de grands projets comme les barrages et les lacs « collinaires ». Parmi les projets déjà réalisés par le CDR dans ce domaine, citons notamment la réhabilitation urgente des stations d’eau potable dans dix-neuf Offices de l’eau, la réhabilitation et la construction des systèmes d’adduction de l’eau potable dans le Grand-Beyrouth, l’extension de la station d’épuration de l’eau potable de Dbayé, le programme d’assistance technique au ministère de l’Énergie et de l’Eau, la construction de réseaux d’adduction de l’eau potable à Baalbeck et Nabi Chit comme pour les Offices des eaux de Qobayat, de Tripoli, de Batroun et de Saïda, ainsi que la construction d’un réseau d’assainissement dans les régions de Baalbeck, du Akkar et de Tripoli, et l’exécution enfin du projet d’adduction d’eau de Yammouneh. La valeur de ces projets s’élève à plusieurs millions de dollars, financés par la Banque mondiale, la Banque européenne d’investissement, le Fonds saoudien pour le développement, le Fonds koweïtien pour le développement économique arabe, les Protocoles financiers libano-italien et libano-français, le gouvernement saoudien, le Fades et la Banque islamique de développement. En ce qui concerne les projets en cours, retenons principalement celui de la réhabilitation et de l’extension des stations de traitement d’eau potable et des stations de pompage et de chloration dans sept stations principales pour l’épuration des eaux à Zahlé, Kfarhelda, Tripoli, Jbeil, Kousba, Ras el-Aïn et al-Bass (Tyr), toutes achevées. Le programme comprend de même la réhabilitation de 200 stations de pompage dans les différentes régions, dont 190 ont déjà été réceptionnées. Initié en 1996, le programme est financé par le Protocole financier libano-français. Son coût s’élève à 54 millions de dollars et 98 % des projets qui y sont reliés ont été achevés à ce jour. Le CDR réalise également un projet qui a pour but la réhabilitation et l’extension des réseaux d’adduction de l’eau potable dans les régions, ainsi que l’extension des réseaux d’assainissement dans les principaux villages. Plusieurs études ont été menées dans ce cadre, avant la signature des accords pour l’exécution de ces projets dans les différentes régions. Par ailleurs, plusieurs projets d’adduction de l’eau potable sont en préparation pour le caza de Jbeil (16 millions de dollars, financés par le Protocole financier libano-italien), Aley (4,8 millions de dollars pour le « jurd » et 10 millions de dollars pour un réseau d’adduction de l’eau vers le réservoir principal), Bhannès (4,8 millions de dollars), Nabatiyeh (3,4 millions d’euros pour la réhabilitation des conduites de transmission d’eau de Nabeh el-Tasseh, financés par l’Agence française pour le développement), Hasbaya (7,6 millions d’euros, financés par l’Agence française pour le développement), Baalbeck-Nabi Chit (15 millions de dollars, notamment pour la construction d’un réseau de distribution de 83 km pour 16 000 logements), Békaa-Nord (11 millions de dollars), Metn (15,6 millions de dollars pour le captage et le traitement de l’eau de Fawar Antélias) et Beyrouth (170 millions de dollars pour l’alimentation de la capitale en eau potable provenant du fleuve Awali).
À ce jour, le CDR a conclu des contrats d’une valeur de 535 millions de dollars dans le secteur de l’eau potable. Le plan de travail vise à finir la réhabilitation et l’extension de systèmes d’adduction de l’eau potable sur l’ensemble du territoire, comme à augmenter les ressources d’eau pour couvrir le déficit prévu, en réalisant de grands projets comme les...