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Imbroglio à la reprise du procès des attentats d’Istanbul attribués à el-Qaëda

Le procès d’attentats sanglants imputés au réseau el-Qaëda à Istanbul, en novembre 2003, a repris hier dans la confusion devant un tribunal stambouliote, l’un des organisateurs supposés des attaques ayant réfuté l’identité lui étant attribuée. « Je m’appelle Ekrem Özel, je suis citoyen turc, mon père s’appelle Aydar, ma mère Hatice », a déclaré le prévenu devant une cour estomaquée, qui s’attendait à entendre la déposition de Louai Sakka, un Syrien arrêté en août dans le sud-est de la Turquie et accusé d’être un membre important d’el-Qaëda en Turquie. Sakka a été interpellé par la police turque au terme d’une enquête sur un projet d’attentat visant des navires de croisière israéliens à Antalya (Sud). Le Syrien était alors en possession de documents d’identité au nom d’Ekrem Özel. Les juges, qui n’ont pas fait de commentaires sur l’identité revendiquée par le prévenu, ont décidé après une courte pause de joindre son procès, qui débutait aujourd’hui, à celui des 71 accusés en cours de jugement depuis juin 2004 pour les attentats d’Istanbul.
Le procès d’attentats sanglants imputés au réseau el-Qaëda à Istanbul, en novembre 2003, a repris hier dans la confusion devant un tribunal stambouliote, l’un des organisateurs supposés des attaques ayant réfuté l’identité lui étant attribuée. « Je m’appelle Ekrem Özel, je suis citoyen turc, mon père s’appelle Aydar, ma mère Hatice », a déclaré le prévenu devant une...