Insolite

Dispute conjugale... à l’arme lourde au Mexique Un couple de Mexicains a terminé à l’hôpital après une dispute qui a dégénéré en véritable « guérilla conjugale » à coups de couteau, d’armes à feu et, pour finir, de bombes artisanales, rapporte le quotidien Milenio. Selon le journal, la dispute entre Juan Espinosa et Irma Contreras s’est terminée par l’explosion d’une petite bombe artisanale à l’essence, qui a détruit la maison des « amoureux » à Oxkutzcab, dans la province du Yucatan, dans le sud-est du pays. Espinosa a déclaré à la presse qu’il était ravi que sa femme ait été brûlée au troisième degré dans l’explosion. Quant à Contreras, elle a regretté de ne pas avoir eu l’occasion « de lui trancher sa virilité » lors de la dispute. Un homme de 300 kilos extrait de son appartement à l’aide d’une grue Un homme de 300 kilos a dû être extrait de son appartement situé au quatrième étage d’un immeuble à l’aide d’une grue après un malaise, ont annoncé hier les pompiers de Hanovre (Nord). L’opération de secours a duré trois heures et mobilisé 35 pompiers. Dix pompiers ont placé avec peine l’homme de trois quintaux dans une nacelle fixée à une grue après avoir installé une rampe à son balcon avec des planches et des palettes en bois. L’homme, âgé de 35 ans, a été transporté à l’hôpital dans une ambulance spéciale pour les patients atteints de surpoids après avoir fait une chute dans sa salle de bains. L’érotisme s’expose à Paris Le Parc des expositions de Paris-Le Bourget accueillera du 17 au 19 courant le Salon de l’érotisme, du charme et du bien-être avec la participation de stars du X dont Julia Chanel, Lisa Crawford, Estelle Desanges, Héléna Karel, Nina Roberts et Mélanie Coste. L’édition 2006 aura pour présidente la chanteuse Eve Angeli, qui coupera le ruban inaugural le 17 courant. Une centaine d’exposants spécialisés dans la production de films, les magazines spécialisés, les établissements libertins, la lingerie pour femme et homme et les gadgets en tout genre dont des bijoux intimes sont annoncés sur les 16 000 m2 du salon. Des « shows » se dérouleront sur une scène. « Ce Salon n’est pas une grande foire : c’est avant tout un état d’esprit où l’exubérance est tolérée et même encouragée », indique l’organisateur, Eropolis. Une étoile spéciale pour les policiers sur le trottoir de Hollywood Hollywood a dédié aux policiers du quartier tués en service une étoile spéciale de son « boulevard de la gloire », normalement réservé aux vedettes du monde du spectacle, ont annoncé les organisateurs de la cérémonie. Cette étoile, à quelques centaines de mètres du théâtre Kodak où sont remis chaque année les Oscars, récompense à titre posthume « l’excellence » des sept membres du commissariat d’Hollywood de la police de Los Angeles tués en service depuis 1913, a indiqué le maire honoraire du quartier, Johnny Grant. Plus de 2 300 étoiles parsèment le « boulevard de la gloire », qui s’étend en réalité sur deux artères du quartier historique du cinéma américain. Elles distinguent des vedettes de cinéma, de la musique, de la télévision, de la radio et du théâtre. Des étoiles spéciales ont déjà récompensé les astronautes de la première mission sur la Lune en 1969 : Neil Armstrong, Michael Collins et Edwin Aldrin. Comment l’« Apache » est devenu « Le Malin » Saisi dans les zones australes françaises pour pêche illégale en juin 2004, l’Apache, « palangrier » battant pavillon du Honduras, est devenu Le Malin en intégrant la Marine nationale française et a rejoint hier sa base de Toulon, a annoncé le ministère de la Défense. « C’est la première fois qu’un bateau de pêche est transformé pour intégrer la flotte de la Marine nationale », a indiqué à l’AFP le lieutenant de vaisseau Christelle Haar. L’histoire de cette transformation remonte au 23 juin 2004. Le « palangrier » Apache est arraisonné dans la zone économique exclusive des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF) par un patrouilleur des autorités françaises pour pêche illégale de « légine », un poisson très prisé des Japonais, mais qui figure sur la liste des espèces protégées. Le propriétaire de l’Apache étant incapable de régler l’amende de plusieurs dizaines de milliers d’euros qui lui est imposée, le bateau est saisi. Le bon état du « palangrier », construit en 1997, attise les convoitises. Une véritable bataille s’engage alors entre des armateurs de La Réunion où le bateau est gardé, qui souhaitent l’acquérir, et la Marine nationale. En septembre 2005, la justice confirme en appel que l’Apache devient propriété de la Marine. Il est rebaptisé Le Malin et sera affecté au soutien des activités de plongée et de surveillance du littoral.