Rechercher
Rechercher

Actualités

Opposition Éviter de retourner à l’esprit qui prévalait avant le 14 mars, souligne Kanaan

Le député du Metn, Ibrahim Kanaan, a estimé que « le gouvernement libanais est responsable, jusqu’à un certain point, des dossiers en suspens entre le Liban et la Syrie, à commencer par le dossier des détenus libanais en Syrie et le problème à la frontière ». M. Kanaan, qui s’exprimait dans le cadre d’un entretien à la LBCI, a indiqué que le Courant patriotique libre « traite avec les différents dossiers d’actualité avec le plus haut degré de responsabilité, parce qu’il est sincère avec le peuple et cohérent avec le programme réformateur qu’il a proposé ». Le député a rappelé que le CPL « avait chaque année un 14 mars, jusqu’à ce que cette date appartienne désormais à tous les Libanais ». Selon lui, il ne faut pas considérer ce qui s’est réalisé ce jour-là comme le meilleur possible, même s’il ne faut pas non plus opérer un coup d’État contre ce phénomène. « Notre principale priorité est d’empêcher que ce qui a été réalisé à cette date ne soit rien qu’un souvenir, et que, partant, on retourne à la mentalité qui prévalait avant le 14 mars. Or ce qui se produit aujourd’hui comme vengeance par le biais du pouvoir ressemble à ce qui se produisait autrefois, mais avec une orientation et une volonté différentes », a-t-il ajouté.
Le député du Metn, Ibrahim Kanaan, a estimé que « le gouvernement libanais est responsable, jusqu’à un certain point, des dossiers en suspens entre le Liban et la Syrie, à commencer par le dossier des détenus libanais en Syrie et le problème à la frontière ».
M. Kanaan, qui s’exprimait dans le cadre d’un entretien à la LBCI, a indiqué que le Courant patriotique...