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Actualités - CHRONOLOGIE

Les vraies batailles attendront l’échéance du 12 juin au Mont-Liban Après le plébiscite à Beyrouth, le rouleau compresseur au Liban-Sud La communauté internationale applaudit des deux mains à l’organisation du scrutin (photo)

Pour une fois, l’État et la communauté internationale sont (presque) sur la même longueur d’ondes. Au lendemain du premier volet des législatives 2005, et pendant que Bassem Sabeh affirmait que le succès des autorités libanaises dans l’organisation du scrutin de la capitale « n’avait pas plu à certains », la communauté internationale, par la voix du département d’État US, de Kofi Annan, Javier Solana, Benita Ferrero-Waldner et José Salafranca applaudissait des deux mains au déroulement de ces élections. Et a « félicité » le gouvernement libanais « pour avoir réussi à organiser des élections libres et crédibles à temps ». Désormais, et après le plébiscite beyrouthin pour les listes Hariri, c’est vers le Sud et son rouleau compresseur Amal-Hezbollah que se braqueront les regards – sans oublier les taux de participation sunnite et chrétien, qui seront assez intéressants à examiner. Sauf que pour les vraies batailles démocratiques, il faudra attendre le 12 juin et le scrutin à la Békaa et, surtout, au Mont-Liban où s’affronteront, à Baabda-Aley, au Metn et au Kesrouan-Jbeil, dans la plupart des duels, des candidats… maronites.
Pour une fois, l’État et la communauté internationale sont (presque) sur la même longueur d’ondes. Au lendemain du premier volet des législatives 2005, et pendant que Bassem Sabeh affirmait que le succès des autorités libanaises dans l’organisation du scrutin de la capitale « n’avait pas plu à certains », la communauté internationale, par la voix du département...