Les gens craignent un changement
vers le pire, estime Hoss
le 17 mai 2005 à 00h00
L’ancien Premier ministre, Sélim Hoss, a estimé hier que « face à ce paysage électoral, l’intelligent parmi nous est celui qui ne comprend rien, alors que l’imbécile est celui qui croit ce qu’il entend ».
Estimant que ces élections ont consacré « l’autobus électoral » comme moyen d’arriver à la Chambre, il a déclaré : « Dans ces autobus, il n’est pas nécessaire qu’il y ait le moindre lien entre le conducteur et les passagers, ou bien entre les passagers eux-mêmes. » « Voilà pourquoi les alliances électorales se sont faites sans le moindre programme », a-t-il ajouté.
Affirmant que les chefs de liste font face aux crises confessionnelles par le biais de marchés confessionnels, il a estimé que « les forces politiques non sectaires n’ont pas de place ».
« Tout le monde espérait le changement à travers ce scrutin (...). Mais les prémices de ces élections poussent les gens à souhaiter que ce ne soit pas un changement vers le pire », a-t-il conclu.
L’ancien Premier ministre, Sélim Hoss, a estimé hier que « face à ce paysage électoral, l’intelligent parmi nous est celui qui ne comprend rien, alors que l’imbécile est celui qui croit ce qu’il entend ».
Estimant que ces élections ont consacré « l’autobus électoral » comme moyen d’arriver à la Chambre, il a déclaré : « Dans ces autobus, il n’est pas...
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