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Actualités - CHRONOLOGIE

Les critiques adressées à Feltman sont « ridicules », déclare la sous-secrétaire d’État adjointe Washington remet les pendules à l’heure : la 1559 n’attendra pas la paix globale (photo)

Les États-Unis ont sévèrement critiqué hier la position syro-libanaise en faveur d’une application chronologique des résolutions de l’Onu sur le Proche-Orient, estimant, par la bouche de la sous-secrétaire d’État adjointe, Elizabeth Debel, qu’il s’agit d’« excuses pour ne pas appliquer la 1559 ». « Washington n’attendra pas la paix au Proche-Orient » pour faire appliquer ce texte, a déclaré Mme Debel. Elle a qualifié de « ridicules » les critiques adressées à l’ambassadeur des États-Unis, Jeffrey Feltman, et réitéré l’appel pour des législatives « libres, équitables et crédibles ». La détermination internationale au sujet de la 1559 ne trouve toutefois pas d’écho en Italie, dont le chef de la diplomatie, Gianfranco Fini, s’est distingué hier à Beyrouth en estimant qu’il ne fallait pas se focaliser sur cette résolution. Quant au chef de l’État, Émile Lahoud, qui a reçu M. Fini, il a réaffirmé, en Conseil des ministres, son point de vue selon lequel la 1559 divisera les Libanais.
Les États-Unis ont sévèrement critiqué hier la position syro-libanaise en faveur d’une application chronologique des résolutions de l’Onu sur le Proche-Orient, estimant, par la bouche de la sous-secrétaire d’État adjointe, Elizabeth Debel, qu’il s’agit d’« excuses pour ne pas appliquer la 1559 ».
« Washington n’attendra pas la paix au Proche-Orient » pour...