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Actualités

Les lecteurs ont voix au chapitre Sexualité des jeunes et tabous

C’est surprenant qu’un dossier traitant de « sexualité » et de « tabous de taille » ne fasse pas la moindre allusion à l’homosexualité et à la bisexualité qui sont à la fois bien présentes et très mal acceptées au Liban. Pour ceux qui seraient mal informés, ces deux variantes de la sexualité humaine concerneraient respectivement 5 % et 18 % de la population adulte libanaise, toutes régions confondues, selon une enquête effectuée auprès de 650 personnes des deux sexes (Souhaila Salloum, « Le Libanais au carrefour des identités sexuelles », in Psyché, n° 3). Et pour ceux qui estimeraient que le simple fait d’en parler serait inapproprié, je tiens à rappeler que ces deux formes de la sexualité humaine ne sont pas considérées comme des « maladies » par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ni par le principal répertoire psychiatrique des maladies mentales, le DSM. Ralph SHAYNE
C’est surprenant qu’un dossier traitant de « sexualité » et de « tabous de taille » ne fasse pas la moindre allusion à l’homosexualité et à la bisexualité qui sont à la fois bien présentes et très mal acceptées au Liban. Pour ceux qui seraient mal informés, ces deux variantes de la sexualité humaine concerneraient respectivement 5 % et 18 % de la population adulte libanaise,...