Le Liban sera prêt au cours du premier trimestre de l’an prochain à adhérer au réseau régional de 400 kilovolts, qui fait partie du projet régional de liaison électrique. C’est ce que le ministre de l’Énergie et de l’Eau, Ayoub Hmayed, a annoncé hier au terme d’une réunion à Damas des ministres des pays concernés par cet ambitieux projet, à savoir le Liban, la Syrie, la Jordanie, la Turquie, l’Égypte et l’Irak.
L’adhésion du Liban à ce projet doit lui permettre de réduire le coût de la production de l’énergie électrique. Le problème est que la liaison entre les six pays tarde à être réalisée pour des considérations propres à chaque État. M. Hmayed a insisté dans ce cadre sur les problèmes auxquels l’Irak est confronté actuellement, ajoutant que même le Liban connaît des difficultés à cause des attaques israéliennes des dernières années contre ses installations électriques.
Il n’en demeure pas moins, a-t-il fait savoir, qu’il sera prêt au cours du premier trimestre de 2004 à adhérer au réseau électrique de 400 kilovolts.
Les représentants des six pays se retrouveront de nouveau en avril 2004 à Istanbul pour poursuivre l’évolution de l’application des mesures qui doivent déboucher sur la mise en place du réseau régional de liaison électrique. Ils seront cependant sept à cette réunion, car les ministres ont accepté l’adhésion de Tripoli à ce projet. La Libye avait présenté une demande en ce sens en 2000, mais sa requête vient seulement d’être approuvée, après qu’elle eut appliqué les mesures techniques et légales requises.
Les ministres ont en outre donné le feu vert à la création d’un centre de contrôle au Caire. Une commission juridique, financière et technique, composée de représentants des pays concernés, doit cependant être formée au préalable afin d’établir les textes nécessaires à l’ouverture de ce centre. La commission doit tenir une réunion le mois prochain dans la capitale égyptienne.
Les ministres ont également mis l’accent sur la nécessité de poursuivre les études concernant le développement des réseaux électriques dans les sept pays, afin de relever le potentiel d’échange et de hâter l’exécution des projets de liaison entre l’Irak et la Syrie, et l’Irak et la Turquie.
Il y a lieu de signaler qu’en marge de la réunion ministérielle, M. Hmayed a discuté avec ses homologues présents à Damas du projet de gazoduc arabe.
L’adhésion du Liban à ce projet doit lui permettre de réduire le coût de la production de l’énergie électrique. Le problème est que la liaison entre les six pays tarde à être réalisée pour des considérations propres à chaque État. M. Hmayed a insisté dans ce cadre sur les problèmes auxquels l’Irak est confronté actuellement, ajoutant que même le Liban connaît des difficultés à cause des attaques israéliennes des dernières années contre ses installations électriques.
Il n’en demeure pas moins, a-t-il fait savoir, qu’il sera prêt au cours du premier trimestre de 2004 à adhérer au réseau électrique de 400 kilovolts.
Les représentants des six pays se retrouveront de nouveau en avril 2004 à Istanbul pour poursuivre l’évolution de l’application des mesures qui doivent déboucher sur la mise en place du réseau régional de liaison électrique. Ils seront cependant sept à cette réunion, car les ministres ont accepté l’adhésion de Tripoli à ce projet. La Libye avait présenté une demande en ce sens en 2000, mais sa requête vient seulement d’être approuvée, après qu’elle eut appliqué les mesures techniques et légales requises.
Les ministres ont en outre donné le feu vert à la création d’un centre de contrôle au Caire. Une commission juridique, financière et technique, composée de représentants des pays concernés, doit cependant être formée au préalable afin d’établir les textes nécessaires à l’ouverture de ce centre. La commission doit tenir une réunion le mois prochain dans la capitale égyptienne.
Les ministres ont également mis l’accent sur la nécessité de poursuivre les études concernant le développement des réseaux électriques dans les sept pays, afin de relever le potentiel d’échange et de hâter l’exécution des projets de liaison entre l’Irak et la Syrie, et l’Irak et la Turquie.
Il y a lieu de signaler qu’en marge de la réunion ministérielle, M. Hmayed a discuté avec ses homologues présents à Damas du projet de gazoduc arabe.
Le Liban sera prêt au cours du premier trimestre de l’an prochain à adhérer au réseau régional de 400 kilovolts, qui fait partie du projet régional de liaison électrique. C’est ce que le ministre de l’Énergie et de l’Eau, Ayoub Hmayed, a annoncé hier au terme d’une réunion à Damas des ministres des pays concernés par cet ambitieux projet, à savoir le Liban, la Syrie, la...
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