Selon un proche du nouveau cabinet, celui-ci « a d’ores et déjà pris la décision d’arrêter des activistes des groupes militants et ceux qui revendiquent des opérations-suicide, ainsi que celle de fermer les ateliers de fabrication » de bombes et de roquettes.
Le Hamas, le Jihad islamique et le Front populaire de libération de la Palestine ont immédiatement réagi, mettant en garde contre « une vague de répression qui diviserait le peuple palestinien». Israël, quant à lui, attend de voir « des actes et non des paroles ».
Le nouveau gouvernement doit se réunir aujourd’hui. L’état d’urgence autorise le cabinet à gouverner par décrets pendant un mois sans avoir à obtenir l’investiture préalable du Conseil législatif palestinien.
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