Le ministre de la Justice, Bahige Tabbarah, et le chef de la diplomatie, Jean Obeid, ont qualifié d’« ingérence dans les affaires de la justice » les critiques formulées par l’Administration américaine au sujet des poursuites judiciaires engagées contre le général Michel Aoun. M. Tabbarah a souligné à ce propos que « le ministère de la Justice, qui a souvent exprimé sa détermination à préserver le pouvoir judiciaire de toute ingérence politique, ne saurait accepter qu’une partie extérieure s’en prenne à des mesures judiciaires prises conformément à l’attachement du Liban à appliquer les lois en vigueur ». De son côté, M. Obeid a déclaré : « Nous refusons à nous-mêmes toute ingérence ou attaque visant les décisions de la justice. » « Qu’en serait-il lorsqu’il s’agit des autres ? » s’est-il interrogé.
Le ministre de la Justice, Bahige Tabbarah, et le chef de la diplomatie, Jean Obeid, ont qualifié d’« ingérence dans les affaires de la justice » les critiques formulées par l’Administration américaine au sujet des poursuites judiciaires engagées contre le général Michel Aoun. M. Tabbarah a souligné à ce propos que « le ministère de la Justice, qui a souvent exprimé...
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