Affaire Aoun - Lecourtier rappelle le droit à la liberté d’expression Addoum réclame la nomination d’un nouveau juge d’instruction
le 23 septembre 2003 à 00h00
Alors que le procureur général de la République, Adnane Addoum, annonçait qu’il comptait demander au ministre de la Justice de nommer un nouveau juge d’instruction pour reprendre les poursuites contre le général Michel Aoun, suite à l’intervention de l’ancien Premier ministre devant une sous-commission du Congrès américain, des voix se sont élevées pour rappeler que les Libanais ont le droit de s’exprimer librement du fait que le Liban est un pays démocratique. Ce sont les propos qu’ont tenus en substance l’ambassadeur de France, Philippe Lecourtier, et le député Boutros Harb, le premier se défendant néanmoins de vouloir s’ingérer dans les affaires internes du pays, et le second affirmant que le général Aoun avait eu tort de s’immiscer dans le conflit syro-américain. De son côté, le candidat du CPL à la partielle de Baabda-Aley, Hikmat Dib, a affirmé qu’il souscrivait totalement au discours du général Aoun à Washington.
Alors que le procureur général de la République, Adnane Addoum, annonçait qu’il comptait demander au ministre de la Justice de nommer un nouveau juge d’instruction pour reprendre les poursuites contre le général Michel Aoun, suite à l’intervention de l’ancien Premier ministre devant une sous-commission du Congrès américain, des voix se sont élevées pour rappeler que les...
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