Fastueuse présence de l’opéra avec Aïda de Verdi sur les rivages de Tyr avec l’Orchestre philharmonique italien placé sous la direction de Marcello Rota et le Chœur lyrique de la Lombardie. Décor naturel dans l’arène romaine d’une ville qui a résisté aux sièges de Nabuchodonosor et d’Alexandre le Grand pour cette œuvre de la maturité du plus illustre représentant de l’art lyrique italien et voix merveilleuses pour chanter les amours impossibles d’un guerrier et d’une esclave éthiopienne, sous un ciel clair quand les vagues caressent au loin les sables blonds de la Méditerranée... Commandée par le khédive d’Égypte Ismaïl pacha, Aïda, pour la septième édition du Festival de Tyr, fait dérouler dans l’ancien et inexpugnable port phénicien les dorures, la pompe et le raffinement des Pharaons à l’ombre de deux amants malheureux qui périssent ensemble victimes de leur amour. Un grand moment alliant beauté vocale et visuelle, magnificence des costumes et trame dramatique bouleversante.
E.D.
Fastueuse présence de l’opéra avec Aïda de Verdi sur les rivages de Tyr avec l’Orchestre philharmonique italien placé sous la direction de Marcello Rota et le Chœur lyrique de la Lombardie. Décor naturel dans l’arène romaine d’une ville qui a résisté aux sièges de Nabuchodonosor et d’Alexandre le Grand pour cette œuvre de la maturité du plus illustre représentant...
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