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Tâche difficile pour Beyrouth : un agenda-réponse à bref délai(photo)

Beyrouth, comme Damas, est désormais mis devant ses responsabilités. C’est aux deux capitales, et par les grâces d’une coordination et d’une coopération sur lesquelles aiment à s’apesantir les dirigeants libanais, qu’incombe la difficile tâche de fixer un agenda dont la date limite ne dépasserait pas, dit-on, les quatre ou cinq mois. Pour répondre aux exigences de Washington (démilitarisation du Hezbollah, déploiement de l’armée au Liban-Sud, etc.), que Colin Powell a pratiquement épelées, avant-hier à Baabda. Mais pour l’instant, si le Liban semble plus que jamais ouvert au dialogue avec les États-Unis, il continue de s’arc-bouter sur ses constantes qui, pour l’instant, ressemblent à s’y méprendre à des fins de non-recevoir à l’égard des desiderata US. Sauf que c’est au galop que l’histoire de la région avance, du moins depuis le 9 avril. Page 2
Beyrouth, comme Damas, est désormais mis devant ses responsabilités. C’est aux deux capitales, et par les grâces d’une coordination et d’une coopération sur lesquelles aiment à s’apesantir les dirigeants libanais, qu’incombe la difficile tâche de fixer un agenda dont la date limite ne dépasserait pas, dit-on, les quatre ou cinq mois. Pour répondre aux exigences de...