Rechercher
Rechercher

Actualités

Formule 1 - Michael Schumacher confiant avant le Grand-Prix du Brésil Ferrari : un esprit revanchard

Michael Schumacher et Ferrari aimeraient bien inverser le cours d’un début de saison contraire dès le Grand Prix du Brésil, troisième épreuve du championnat du monde de Formule 1, demain sur le circuit d’Interlagos à São Paulo. Voilà cinq ans en effet, depuis 1998, que la Scuderia n’a pas connu une aussi mauvaise entame, qu’elle n’est pas parvenue à accrocher au moins un succès lors des deux premières courses. Pire pour l’équipe italienne, c’est le même adversaire, McLaren-Mercedes, qui s’est taillé la part du lion en s’octroyant les deux succès, David Coulthard à Melbourne, Kimi Raikkonen en Malaisie. « La F2002 a prouvé qu’elle était encore hautement compétitive et, à São Paulo, nous allons avoir l’opportunité de défendre la victoire acquise l’an passé pour les... débuts de cette F2002 sur la piste d’Interlagos », annonce Jean Todt, le directeur sportif de Ferrari. Conscient que la performance de la monoplace n’est pas en cause, seules les circonstances ayant empêché Michael Schumacher d’en concrétiser son potentiel, Todt ne veut donc pas accélérer la mise en service de la nouvelle F2003-GA. Au moment d’aborder cette épreuve brésilienne, Michael Schumacher semble animé d’un esprit d’autant plus revanchard qu’il n’a guère apprécié les critiques émises après ses échecs australiens et malais. Barrichello devant son public Du côté de McLaren-Mercedes, mis en appétit par un début tonitruant, et même de Williams-BMW, Ralf Schumacher et Juan Pablo Montoya, souvent à l’aise à Interlagos par le passé, on compte bien continuer à mener la vie dure à la Scuderia, à Michael Schumacher et à Rubens Barrichello qui rêve, quant à lui, de s’imposer chez lui, devant son public, comme ses illustres prédécesseurs l’avaient fait par le passé, Emerson Fittipaldi en 1973, Nelson Piquet en 1983 et Ayrton Senna en 1993. La bande à Ron Dennis fonde ses ambitions d’une part sur les qualités d’une monoplace « intermédiaire » beaucoup plus compétitive que la MP4-17 de 2002, mais également sur les qualités des gommes Michelin, atout majeur des réussites à Melbourne et Sepang sous la chaleur. Cette supériorité des pneus français sur les Bridgestone de Ferrari, BAR-Honda, Jordan-Ford, Sauber et Minardi, autorise également de nouvelles motivations chez Renault, le quatrième larron surprenant depuis le coup d’envoi de la saison, Jarno Trulli et la vedette montante espagnole, Fernando Alonso.
Michael Schumacher et Ferrari aimeraient bien inverser le cours d’un début de saison contraire dès le Grand Prix du Brésil, troisième épreuve du championnat du monde de Formule 1, demain sur le circuit d’Interlagos à São Paulo. Voilà cinq ans en effet, depuis 1998, que la Scuderia n’a pas connu une aussi mauvaise entame, qu’elle n’est pas parvenue à accrocher au...