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Arrêt sur image Les poupées du diable

Il y eut le trio infernal: Gina, Sophia et Claudia. Et puis il y eut d’autres «bambole»: Elsa, Rossana, Lucia, Elena, Virna, Sylva, Stefania, Antonella et j’en passe. Quel mâle normalement constitué n’aurait pas fantasmé à leur propos? Le plus aveugle des aveugles vous aurait dit d’elles que leurs rondeurs étaient généreusement distribuées aux endroits stratégiques, que leur œillade était aussi assassine que le sourire, le verbe haut et le tempérament aussi volcanique que le Stromboli et l’Etna réunis! Aujourd’hui, pour peu que vous ayez la curiosité de vous brancher sur les chaînes italiennes (Raï Uno, due, tre...), vous réaliserez vite que rien n’a vraiment changé sous le «sole mio»! Les «bambole», à l’antenne, n’ont rien à envier aux stars d’antan: les rondeurs, le sourire, l’œillade et le tempérament, tout est là. Un certain soir, la candidate à un jeu (je ne vous demanderai pas de me l’expliquer puisqu’on y joue avec les mains...) n’hésita pas à enlever sa (mini) jupe pour se retrouver en (micro) culotte! Car, en Italie, les jeux qui se pratiquent n’ont visiblement qu’une seule et unique ambition: faire monter la température du «popolo». Et comme, de surcroît, les caméra-spaghettis évoluent au niveau de l’ourlet des jupes des ragazze, vous comprendrez que l’atmosphère qui règne sur les plateaux est surchauffée. Côté cuisine, on ne fait, non plus, dans les surgelés. La popote, qui mijote en direct, a pour prêtresse une blonde au teint de pêche – j’allais dire de péché – qui répond au doux nom d’Antonella. Je suis prêt à lui manger dans le creux de la main. J’en connais d’autres qui flippent pour une certaine Miss Italie, celle-là est aussi brune que l’Antonella est blonde et affiche des décolletés à damner tous les saints du paradis! Contrairement à ce que disait Sartre, l’enfer ce n’est pas les autres, ce sont les Italiennes. Vous pouvez appeler cela de l’exhibitionnisme. Cela vaut certainement mieux que les Loft Story de triste mémoire et autres Reality Shows! Alain PLISSON P.S.: Les poupées du diable (The Devil Doll) de Ted Browning avec Lionel Barrymore.
Il y eut le trio infernal: Gina, Sophia et Claudia. Et puis il y eut d’autres «bambole»: Elsa, Rossana, Lucia, Elena, Virna, Sylva, Stefania, Antonella et j’en passe. Quel mâle normalement constitué n’aurait pas fantasmé à leur propos? Le plus aveugle des aveugles vous aurait dit d’elles que leurs rondeurs étaient généreusement distribuées aux endroits stratégiques, que leur...