Actualités - ANALYSE
Débat - La controverse sur la présence syrienne se poursuit L'Est politique rejette l'amalgame entre la gratitude et la soumission
Par KHOURY Emile, le 03 octobre 2000 à 00h00
Le chef des Kataëb Mounir Hajj a mis en garde hier contre «les appels à l’abolition du confessionnalisme en réaction à des positions qui sont sans doute nationales». M. Hajj a pris la parole au début de la réunion hebdomadaire de son parti pour affirmer : «La question de l’abolition du confessionnalisme ne se pose pas au moment où la tension confessionnelle est à son paroxysme (…). Les motivations d’une telle revendication doivent être nationales». D’autre part, concernant la formation du prochain gouvernement, M. Hajj a déclaré : «La plupart des observateurs s’intéressent à la composition de ce gouvernement. Notre position, quant à elle, n’a pas changé, depuis Taëf. Nous avions dit alors, et nous disons toujours, que l’entente nationale doit prévaloir».
Le chef des Kataëb Mounir Hajj a mis en garde hier contre «les appels à l’abolition du confessionnalisme en réaction à des positions qui sont sans doute nationales». M. Hajj a pris la parole au début de la réunion hebdomadaire de son parti pour affirmer : «La question de l’abolition du confessionnalisme ne se pose pas au moment où la tension confessionnelle est à son...
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