En gros plan Rectificatif et autres précisions

D’abord, toutes nos excuses pour des informations partiellement erronées. Dans notre désir d’annoncer «en scoop» un événement important, nous n’avions pas vérifié certains détails et en avions mal interprété quelques autres. Voici donc la mise au point qui s’imposait, accompagnée de précisions utiles. L’essentiel demeure. Nous allons bien voir au Liban – du 14 au 17 de ce mois – une sélection des films primés à la 5e Biennale des cinémas arabes de l’Ima (Paris), selon la programmation indiquée dans notre dernière chronique : le cinquième long métrage étant La Baraka du Cheikh, de Gadallah Gubara (Soudan), et le court métrage Premier Noël, de Kamel Chérif (Tunisie/France). Mais c’est à Beyrouth qu’auront lieu les projections – peut-être aussi ailleurs, pourquoi pas ? – exactement à la «Lebanese American University» (LAU). En plus, la délégation attendue chez nous pour l’occasion – et comprenant réalisateurs, acteurs et journalistes – participera à une rencontre axée sur un thème-choc : «la Femme dans le cinéma arabe». Rappelons que cette manifestation culturelle est organisée, en étroite collaboration, par la Fondation Hariri, présidée par Mme Bahia Hariri (Liban), et l’Institut du monde arabe (Paris). En vérité, une excellente initiative. D’ailleurs, M. Camille Cabana, président de l’Ima, sera également présent au Liban pour patronner l’événement comme il convient. Un événement qui va faire du bruit. P-S : Tous nos remerciements à Walid Chmeit pour sa coopération active et amicale. Les Libanais connaissent déjà son dynamisme «cinéma», à l’Ima en particulier.