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Actualités - CHRONOLOGIE

Processus de paix - Pas de déblocage rapide israélo-palestinien Le Golan est un territoire syrien, reconnaît Beilin

Au lendemain de la double visite du roi Abdallah II de Jordanie en Israël et dans les territoires, l’État hébreu, par la bouche de Shlomo Ben Ami, chef par intérim de la diplomatie israélienne, a écarté hier un prochain déblocage des pourparlers avec les Palestiniens en dépit des efforts diplomatiques en cours. M. Ben Ami, qui joue un rôle central dans ces négociations, a ajouté que l’Égypte s’employait à trouver une solution sur la question de Jérusalem, pierre d’achoppement des pourparlers. Il doit rencontrer à ce propos aujourd’hui à Alexandrie le président égyptien Hosni Moubarak. Ce dernier a affirmé hier à Alexandrie que «personne ne peut accepter la souveraineté israélienne sur Jérusalem-Est ou sur la mosquée al-Aqsa». Le Raïs, qui s’active sur tous les fronts du processus de paix, a annoncé hier qu’il recevra au Caire dans la deuxième moitié du mois de septembre ,le président syrien Bachar el-Assad. Au menu des discussions, un éventuel sommet arabe que la Syrie appelle de ses vœux et la libération du Golan occupé par Israël. Position remarquée a ce sujet en Israël, celle du ministre de la Justice Yossi Beilin qui s’est prononcé publiquement hier pour un retrait du plateau stratégique – «territoire syrien que nous avons occupé» –, ajoutant qu’il existe des «chances réelles» pour une relance des négociations entre Tel-Aviv et Damas.
Au lendemain de la double visite du roi Abdallah II de Jordanie en Israël et dans les territoires, l’État hébreu, par la bouche de Shlomo Ben Ami, chef par intérim de la diplomatie israélienne, a écarté hier un prochain déblocage des pourparlers avec les Palestiniens en dépit des efforts diplomatiques en cours. M. Ben Ami, qui joue un rôle central dans ces négociations, a...