Actualités - COMMUNIQUES ET DECLARATIONS
Les reproches de Berry et de la famille Sadr
le 16 août 2000 à 00h00
Le président de l’Assemblée nationale et les proches de l’imam Moussa Sadr ont, chacun de leur côté, publié hier des communiqués reprochant aux responsables de s’être pris au jeu du chef de la Révolution libyenne et d’avoir oublié que ce même régime, qui fait preuve aujourd’hui du plus grand zèle pour la libération de Marie Moarbès et des autres otages de l’île de Jolo, s’est rendu en août 1978 coupable de la disparition de l’imam Moussa Sadr et de ses deux compagnons cheikh Mahmoud Yaacoub et M. Abbas Badreddine. Pour la famille de l’imam, c’est «un blanc-seing» que le Liban a donné au colonel Kadhafi, en envoyant à Tripoli une délégation de haut niveau pour accueillir l’otage libanaise et remercier un régime qui n’a jamais admis ses responsabilités dans la disparition des trois hommes.
Le président de l’Assemblée nationale et les proches de l’imam Moussa Sadr ont, chacun de leur côté, publié hier des communiqués reprochant aux responsables de s’être pris au jeu du chef de la Révolution libyenne et d’avoir oublié que ce même régime, qui fait preuve aujourd’hui du plus grand zèle pour la libération de Marie Moarbès et des autres otages de...
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