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Actualités - REPORTAGES

Une maternelle qui donne envie de retourner à l'école (photo)

Outre ses trois églises, Anjar compte trois écoles. Chacune relève d’un rite : orthodoxe, catholique et protestant. Cette année, les élèves de sept écoles arméniennes protestantes du Liban se sont retrouvés à Anjar pour participer, comme c’est la coutume annuelle, à une kermesse. Plus de mille élèves ont pris part aux jeux en présence des députés arméniens Georges Kassarji et Ibrahim Dédéyan. Chacun affichait sur sa casquette les couleurs de son école. Au programme, plusieurs activités sportives et intellectuelles : notamment échecs, basket-ball et volley-ball. Fonctionnelle depuis 1941, l’École orthodoxe de Anjar a été construite en plusieurs étapes. Ici, les élèves peuvent suivre des cours de la maternelle jusqu’aux classes secondaires. Dès la classe de douzième, les tout-petits apprennent l’alphabet en trois langues, l’arménien, l’anglais et l’arabe. Une quatrième langue, le français, est enseignée plus tard. Toujours en douzième, les élèves se familiarisent avec les sciences naturelles, dans un coin nommé «Science Corner». Dans une autre partie de la classe, c’est le règlement qui est affiché. Sur un mur de la classe claire et décorée, l’on sensibilise les tout-petits, images à l’appui, au b.a.-ba de la propreté. Dans les couloirs de l’école, des éléphants, des girafes et d’autres animaux en carton pendent du plafond. Dans une salle éclairée par une baie vitrée, un guignol attend les élèves sages. Ici, dans ce petit paradis, rares sont les tout-petits qui pleurent ou qui s’ennuient.
Outre ses trois églises, Anjar compte trois écoles. Chacune relève d’un rite : orthodoxe, catholique et protestant. Cette année, les élèves de sept écoles arméniennes protestantes du Liban se sont retrouvés à Anjar pour participer, comme c’est la coutume annuelle, à une kermesse. Plus de mille élèves ont pris part aux jeux en présence des députés arméniens Georges...