Le Conseil de sécurité de l’Onu doit entendre demain un premier rapport très attendu du secrétaire général de l’Onu Kofi Annan sur le retrait israélien du Liban. Le débat sur cette question pourrait prendre plusieurs jours, et une déclaration à ce sujet pourrait ne pas émaner avant vendredi. Sur le terrain, entre-temps, la situation demeure tendue et confuse et, dans l’état actuel des choses, la tâche d’assistance qui revient à la Finul semble dépasser ses capacités d’autant plus que les garanties de sécurité requises pour ses hommes ne sont pas réunies. Israël et le Liban sont en profond désaccord sur la définition du retrait qui, pour le Liban, ne se limite pas à l’absence physique de soldats israéliens, mais signifie l’élimination des séquelles : le démantèlement de l’Armée du Liban-Sud et la libération de tous les détenus libanais. Tout semble en place pour la poursuite de la tension et un surcroît d’efforts diplomatiques qui se traduiront, sans aucun doute, par une nouvelle tournée régionale de l’émissaire onusien Terjé Roed-Larsen.
Le Conseil de sécurité de l’Onu doit entendre demain un premier rapport très attendu du secrétaire général de l’Onu Kofi Annan sur le retrait israélien du Liban. Le débat sur cette question pourrait prendre plusieurs jours, et une déclaration à ce sujet pourrait ne pas émaner avant vendredi. Sur le terrain, entre-temps, la situation demeure tendue et confuse et, dans l’état...
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