Selon des sources diplomatiques à Beyrouth citées par notre chroniqueur diplomatique Khalil Fleyhan, l’armée israélienne s’apprêterait à se retirer du Liban-Sud en prenant soin de riposter très violemment à toute attaque dont elle ferait l’objet pendant et après l’opération d’évacuation. D’où les tractations qui ont lieu actuellement au siège de l’Onu, à New York, loin des feux de la rampe, en vue de garantir un retrait israélien dans le calme, de manière à épargner à la région frontalière toute explosion susceptible d’ailleurs de s’étendre à l’ensemble de la région. Un rapport diplomatique souligne à ce sujet la nécessité de «clarifier la situation» avant la réunion qui doit grouper ce mois les membres du Conseil de sécurité. Des contacts intensifs seraient déployés dans ce cadre au niveau des États-Unis et de la France. Selon les mêmes sources, la Russie aurait informé Beyrouth de sa disposition à collaborer pour garantir le succès de l’application des résolutions 425 et 426 et ce, par le biais de son représentant à New York. Moscou se serait également déclarée disposée à remplacer Washington dans le rôle de parrain du processus de paix à mesure que les élections présidentielles prennent le pas sur toute autre affaire aux États-Unis.
Selon des sources diplomatiques à Beyrouth citées par notre chroniqueur diplomatique Khalil Fleyhan, l’armée israélienne s’apprêterait à se retirer du Liban-Sud en prenant soin de riposter très violemment à toute attaque dont elle ferait l’objet pendant et après l’opération d’évacuation. D’où les tractations qui ont lieu actuellement au siège de l’Onu, à...
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