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Actualités - COMMUNIQUES ET DECLARATIONS

Barak pourrait annuler son voyage aux USA en raison de la situation au Liban-Sud Israël ne veut pas fermer la porte à la paix avec la Syrie

Le Premier ministre israélien Ehud Barak a affirmé hier qu’il ne voulait «pas fermer la porte» à la paix avec la Syrie. «La paix avec la Syrie n’est pas un rêve. Nous aspirons toujours à parvenir à un accord de paix avec ce pays. Même aujourd’hui, la porte n’est pas fermée et nous ne la fermerons pas», a-t-il affirmé lors d’une cérémonie officielle à l’occasion du 35e anniversaire de la pendaison à Damas de l’espion israélien Élie Cohen. M. Barak a promis à cette occasion que «lorsque l’heure de la paix avec la Syrie sera venue, nous saluerons la mémoire d’ƒlie Cohen pour sa grande contribution à son avènement». Il n’empêche, le Premier ministre israélien traverse une phase politique critique. S’il faut en croire la première chaîne de télévision, il pourrait annuler son voyage prévu la semaine prochaine aux États-Unis en raison de la situation à la frontière libanaise. Concernant le volet palestinien du processus de paix, l’ancien négociateur en chef Yasser Abed Rabbo a rapidement exclu hier ce qui semblait être un ballon d’essai lâché par la presse israélienne. Selon le Haaretz, en effet, Israël a proposé d’octroyer une autonomie palestinienne limitée dans les secteurs arabes de Jérusalem-Est annexée en 1967. Selon le journal, des négociateurs israéliens à Stockholm ont suggéré que les Palestiniens disposent de prérogatives municipales limitées et de pouvoirs sécuritaires symboliques à Jérusalem-Est.
Le Premier ministre israélien Ehud Barak a affirmé hier qu’il ne voulait «pas fermer la porte» à la paix avec la Syrie. «La paix avec la Syrie n’est pas un rêve. Nous aspirons toujours à parvenir à un accord de paix avec ce pays. Même aujourd’hui, la porte n’est pas fermée et nous ne la fermerons pas», a-t-il affirmé lors d’une cérémonie officielle à...