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Actualités - CHRONOLOGIE

Droits de l'homme Solida soulève la question des détenus devant les Nations Unies

Le mouvement Solida (Soutien aux libanais détenus arbitrairement) a saisi l’occasion de la tenue de la 56e session des droits de l’homme des Nations unies pour soulever, une fois de plus et au plus haut niveau, la question des Libanais détenus arbitrairement dans les prisons syriennes et israéliennes. Le porte-parole du mouvement franco-libanais s’est rendu lundi dernier à Genève afin d’y rencontrer le secrétaire du groupe de travail sur la détention arbitraire, Marcou Schmitt, le vice-président du groupe de travail sur la détention arbitraire, Louis Joinet, et enfin le «Desk Officer» pour le Liban au bureau du haut-commissaire des droits de l’homme, Karim Gueshraoui. Parmi les dossiers présentés au groupe de travail sur la détention arbitraire, celui de Naji Aziz Harb, citoyen libanais, arrêté en juillet 1990 et détenu à la prison de Saydnana en Syrie. Le cas de Harb est étayé par de nombreux documents officiels. Solida a également attiré l’attention des Nations unies sur des cas précis de détenus libanais dans les prisons syriennes, tels que celui de Shamel Hussein Kenaan, détenu depuis 1986, Jihad Georges Eid, détenu depuis 1990, ou encore Élias Lutfallah Tanious, détenu depuis 1992. Solida a en outre réclamé une intervention pour la fermeture du camp israélien de Khiam au Liban-Sud géré par l’ALS et pour la libération de tous les Libanais détenus illégalement dans les prisons israéliennes et syriennes.
Le mouvement Solida (Soutien aux libanais détenus arbitrairement) a saisi l’occasion de la tenue de la 56e session des droits de l’homme des Nations unies pour soulever, une fois de plus et au plus haut niveau, la question des Libanais détenus arbitrairement dans les prisons syriennes et israéliennes. Le porte-parole du mouvement franco-libanais s’est rendu lundi dernier à...