Actualités - COMMUNIQUES ET DECLARATIONS
Des cultures de substitut pour la Békaa
le 23 février 2000 à 00h00
Le commandant de la police judiciaire, le brigadier Samir Sobh, a publié hier un communiqué dans lequel il a dressé le bilan des opérations de chaque brigade de son département et exposé les démarches entreprises pour lutter contre la culture du haschisch et du pavot au Liban. Concernant ce dernier point, le brigadier Sobh a fait état d’un nouveau plan, complémentaire au programme du Pnud pour le développement rural. Il s’agit du développement de la culture de pistaches, de noisettes, de câpres, de safran et du jojoba dans la partie nord de la Békaa (Baalbeck-Hermel). Les trois premiers genres sont connus et cultivés au Liban alors que les trois derniers nécessitent un matériel supplémentaire d’emballage pour les câpres et d’extraction pour le safran et le jojoba dont l’huile est utilisée. Le brigadier a insisté sur le fait que le choix de ces six plantes n’est pas arbitraire. Il est fondé sur une étude de la terre et du climat de Baalbeck-Hermel. Il a aussi souligné que l’exécution de ce plan dépend de l’aide d’États amis. La Syrie, a-t-il expliqué, a déjà offert des pousses de marronniers, de noisetiers et de pistachiers qui seront cultivés sur une surface dépassant les 100 hectares dans les secteurs de la partie nord de la Békaa.
Le commandant de la police judiciaire, le brigadier Samir Sobh, a publié hier un communiqué dans lequel il a dressé le bilan des opérations de chaque brigade de son département et exposé les démarches entreprises pour lutter contre la culture du haschisch et du pavot au Liban. Concernant ce dernier point, le brigadier Sobh a fait état d’un nouveau plan, complémentaire au...
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