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Actualités - CHRONOLOGIE

Clinton : une raison de plus pour reprendre le dialogue

Tous les moyens politiques et diplomatiques dont dispose le Liban sont mis en œuvre pour empêcher Israël de renouveler ses attaques contre l’infrastructure. Le président du Conseil Sélim Hoss a appelé hier les États-Unis, «en tant que puissance ayant le plus d’influence auprès d’Israël», à l’empêcher d’attaquer des objectifs civils au Liban. «Nous espérons que le retrait d’Israël de la réunion du comité de surveillance n’est pas un prélude à des actions que prépare ce pays», a ajouté M. Hoss, après avoir lancé son appel. Le chef du gouvernement a par ailleurs convoqué les représentants des pays membres du Conseil de sécurité des Nations unies et les a pris à témoin des agressions injustifiées d’Israël, tout en leur demandant d’intervenir auprès de leur gouvernement, pour contraindre l’État hébreu à la retenue. Réagissant à la dégradation de la situation, le président américain Bill Clinton a estimé qu’elle devrait être «une raison de plus pour reprendre le processus de paix avec une ferme détermination». «Une paix globale entre Israël, la Syrie et le Liban est le seul moyen de résoudre les problèmes qui surviennent régulièrement depuis des années le long de la frontière» (israélo-libanaise), a lancé M. Clinton au cours d’un point de presse à Washington. La France et la Grande-Bretagne ont également exprimé leur «préoccupation» face à l’escalade.
Tous les moyens politiques et diplomatiques dont dispose le Liban sont mis en œuvre pour empêcher Israël de renouveler ses attaques contre l’infrastructure. Le président du Conseil Sélim Hoss a appelé hier les États-Unis, «en tant que puissance ayant le plus d’influence auprès d’Israël», à l’empêcher d’attaquer des objectifs civils au Liban. «Nous espérons que...