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Actualités - CONFERENCES DE PRESSE

Clinton appelle à l'arrêt de la violence et à la relance du processus de paix

Le président américain Bill Clinton a appelé hier à l’arrêt de la violence au Liban-Sud. «Ce dont nous avons besoin c’est d’arrêter la violence et de reprendre le processus de paix», a affirmé M. Clinton lors d’une conférence de presse à la Maison-Blanche. «Nous y travaillons très, très dur», a-t-il ajouté. «Il est clair que ce bombardement est une réaction à la mort, lors de deux incidents séparés, de deux soldats israéliens», a déclaré le président Clinton, en appelant les deux parties à la retenue. Notons sur ce plan que la secrétaire d’État Madeleine Albright a indiqué que l’envoyé spécial américain pour le Proche-Orient, Dennis Ross, se rendrait à nouveau dans la région la semaine prochaine pour tenter de relancer le processus de paix face à l’escalade de la violence au Sud. «Son voyage aura plusieurs objets», a déclaré Mme Albright à des journalistes, expliquant qu’il aborderait aussi bien les pourparlers de paix israélo-palestiniens que la récente escalade de violence au Liban-Sud. Dennis Ross était rentré ce week-end d’un déplacement dans la région pour tenter de sortir de l’impasse les pourparlers israélo-palestiniens. Washington est très inquiet du retour d’un «cycle de violence» suite à des attaques du Hezbollah dans le Liban-Sud et des frappes aériennes israéliennes, a déclaré Mme Albright. «Ce que les Israéliens ont fait, c’est envoyer un signal très fort à propos du fait qu’ils ne veulent pas d’escalade», a-t-elle déclaré en référence aux attaques du Hezbollah. «Ils veulent s’assurer que le message est bien reçu mais ce que nous aimerions éviter ici c’est une escalade et un cycle de violence», a-t-elle dit.
Le président américain Bill Clinton a appelé hier à l’arrêt de la violence au Liban-Sud. «Ce dont nous avons besoin c’est d’arrêter la violence et de reprendre le processus de paix», a affirmé M. Clinton lors d’une conférence de presse à la Maison-Blanche. «Nous y travaillons très, très dur», a-t-il ajouté. «Il est clair que ce bombardement est une réaction à la mort,...