Après avoir surmonté la veille, avec l’aide du président Clinton, l’obstacle des priorités du calendrier, négociateurs israéliens, syriens et américains, répartis en groupes de travail, ont entamé, hier, à Shepherdstown en Virginie, leur difficile marchandage sur les modalités d’un règlement de paix pour mettre fin à un demi-siècle d’hostilités. «Nous avançons à petits pas, de manière professionnelle. Il ne s’agit pas d’un processus rapide», a déclaré à ce propos le porte-parole du département d’État James Rubin. Selon lui, les questions en discussion «sont très complexes». Il a précisé, à ce sujet, que seuls les groupes de travail sur les arrangements de sécurité et sur la normalisation se sont réunis, et non celui chargé des tractations sur les ressources en eau, comme indiqué plus tôt de source proche de la délégation syrienne. La secrétaire d’État Madeleine Albright a eu, pour sa part, un déjeuner de travail avec le Premier ministre israélien Ehud Barak et elle devait rencontrer dans le courant de l’après-midi le chef de la diplomatie syrienne Farouk el-Chareh.
Après avoir surmonté la veille, avec l’aide du président Clinton, l’obstacle des priorités du calendrier, négociateurs israéliens, syriens et américains, répartis en groupes de travail, ont entamé, hier, à Shepherdstown en Virginie, leur difficile marchandage sur les modalités d’un règlement de paix pour mettre fin à un demi-siècle d’hostilités. «Nous avançons...
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