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Actualités - CONFERENCES ET SEMINAIRES

Séminaire Le partenariat État-secteur privé indispensable au développement social

 «Disctuer des différents aspects du partenariat entre les secteurs public et privé et assurer la continuité de la communication entre ces deux parties» : ce sont là deux objectifs qui ont poussé l’Union nationale des associations contractuelles avec le ministère des Affaires sociales à organiser un séminaire, samedi dernier à l’hôtel Marriott. La journée, placée sous le patronage du ministre des Affaires sociales Assaad Diab a regroupé cinquante-cinq associations. M. Diab a insisté dans son allocution sur la confiance «qui doit s’établir entre les deux parties», la persévérance et la mise en application des conclusions tirées des journées de travail et des réunions. «Il ne suffit pas, a-t-il dit, de se réunir et d’élaborer des projets. Il faut surtout les mettre à exécution». M. Toufic Osseirane, président de l’Union nationale des associations contractuelles avec le ministère des Affaires sociales, a insisté dans son discours sur l’ importance du partenariat entre les deux secteurs privé et public. «L’idée de partenariat, a-t-il dit, est le résultat de longues réflexions et une prise de conscience qui porte sur l’efficacité du rôle que les associations privées assument dans les différents domaines». «Tout État, a précisé M. Osseirane, a besoin de l’initiative privée». Le Dr Zouheir Hatab, membre du comité administratif de l’association de planning familial au Liban, a axé son intervention sur le thème du «Partenariat entre l’État et le secteur privé : principes, objectifs et aspirations», dans laquelle il s’est étendu sur l’origine du partenariat au Liban et sur les bienfaits de cette coopération. «Depuis sa création, a-t-il rappelé, l’Office de développement social a adopté le principe de partenariat. Et cela car il a décidé de renforcer le rôle des associations privées et de tirer profit de leurs équipements et de leurs expériences». M. Hatab a aussi soulevé la question de la crise à laquelle étaient confrontées les associations sociales privées pendant la guerre, alors qu’elles n’avaient plus les moyens de venir en aide à tous les secteurs endommagés et qu’elles ne recevaient plus d’aides financières de l’étranger. Dans le programme de la journée, deux avocats, Sleiman Sleiman et Mohammed Issa, se sont étendus sur le sujet des «Contrats établis entre les associations privées et le ministère des Affaires sociales : objectifs, applications et amendements proposés». Ensuite, des groupes de travail se sont penchés sur les difficultés qu’affrontent les associations contractuelles et sur la définition de leurs besoins en matière de formation. Des rapports ont été établis et débattus par tous les participants, en fin de journée. Parmi les associations qui ont participé à cette journée : les associations de planning familial, l’organisation Amel, les comités de mères au Liban, le club des jeunes de Btater, l’Association libanaise pour les handicapés, l’Association René Mouawad, le regroupement Oum el-Nour pour la réhabilitation des drogués, etc. M.B.
 «Disctuer des différents aspects du partenariat entre les secteurs public et privé et assurer la continuité de la communication entre ces deux parties» : ce sont là deux objectifs qui ont poussé l’Union nationale des associations contractuelles avec le ministère des Affaires sociales à organiser un séminaire, samedi dernier à l’hôtel Marriott. La journée, placée...