Le président de la Chambre a assuré hier à Aïn el-Tiné, devant une délégation des parents de disparus, qu’il n’y avait plus de détenus libanais en Syrie. «Soyons clairs, il faut faire la différence entre disparus et prisonniers. Les mesures à prendre dans l’affaire des disparus n’ont rien à voir avec l’initiative syrienne de relaxer les détenus pour tourner définitivement la page», a-t-il affirmé. M. Berry a catégoriquement refusé tout propos selon lequel il y aurait encore des prisonniers dans les geôles syriennes. «Une fois pour toute, ceux qui étaient en Syrie sont rentrés. Il n’y a plus que des disparus», a-t-il indiqué, affirmant que le dossier serait à l’ordre du jour du Conseil des ministres mercredi prochain. Le chef du Législatif a par ailleurs rappelé qu’un grand nombre de disparus ont péri pendant les combats, «comme à la Quarantaine, l’Abattoir et Tall el-Zaatar».
Le président de la Chambre a assuré hier à Aïn el-Tiné, devant une délégation des parents de disparus, qu’il n’y avait plus de détenus libanais en Syrie. «Soyons clairs, il faut faire la différence entre disparus et prisonniers. Les mesures à prendre dans l’affaire des disparus n’ont rien à voir avec l’initiative syrienne de relaxer les détenus pour tourner...
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