L’affaire des huit pubs du centre-ville, fermés il y a plus d’une semaine par la police du Parlement suite à des incidents survenus dans leurs parages lors du congé du Fitr, n’en finit pas de connaître de nouveaux rebondissements. Lundi soir, alors que le ministère du Tourisme (qui s’est saisi du dossier et a vérifié les permis obtenus ou demandés par les propriétaires) avait autorisé la réouverture des pubs concernés et que ceux-ci s’apprêtaient à recevoir une nouvelle fois les clients, des agents de la police du Parlement ont de nouveau exigé leur fermeture peu après vingt heures. Hier, après que le Parlement a été notifié officiellement de l’autorisation d’ouverture émanant du ministère du Tourisme, les pubs ont de nouveau repris leur activité. On peut se demander, cependant, comment la police du Parlement (dont, rappelons-le, le rôle est supposé se limiter à la protection du bâtiment de la Chambre des députés) peut exiger de son propre chef la fermeture d’établissements touristiques.
L’affaire des huit pubs du centre-ville, fermés il y a plus d’une semaine par la police du Parlement suite à des incidents survenus dans leurs parages lors du congé du Fitr, n’en finit pas de connaître de nouveaux rebondissements. Lundi soir, alors que le ministère du Tourisme (qui s’est saisi du dossier et a vérifié les permis obtenus ou demandés par les...
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