Une manifestation pas comme les autres, sans incidents majeurs ni cris de haine. Mais plutôt l’expression d’un profond désespoir, celui des milliers de salariés qui se voient les seules victimes de la politique économique du gouvernement. Pour appuyer leurs revendications, d’importantes figures politiques comme Joumblatt, Hoss, Nassib Lahoud et d’autres, ainsi que de nombreux partis et mouvements, comme Amal, le Hezbollah, le PCL, le PSNS, le courant aouniste, etc., sont aussi descendus dans la rue, sous la bannière d’une revenante, la CGTL. Retrouvant son rôle, et avec une bonne couverture politique, la centrale syndicale a même brandi la menace d’une grève ouverte à partir du 7 janvier, avant le vote du budget par le Parlement. PAGE 4
Une manifestation pas comme les autres, sans incidents majeurs ni cris de haine. Mais plutôt l’expression d’un profond désespoir, celui des milliers de salariés qui se voient les seules victimes de la politique économique du gouvernement. Pour appuyer leurs revendications, d’importantes figures politiques comme Joumblatt, Hoss, Nassib Lahoud et d’autres, ainsi que de...
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