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Actualités - CHRONOLOGIE

CELLULAIRE - Prochaine élaboration d’une étude sur les salariés Première réunion Cardahi-Kanso(PHOTO)

Le ministre des Télécommunications, Jean-Louis Cardahi, et son collègue au Travail, Ali Kanso, ont entamé hier la première phase de leurs consultations, en accord avec la décision prise par le Conseil des ministres. Une décision visant à leur confier conjointement l’élaboration d’une étude consacrée aux salariés de la téléphonie mobile. Une étude dont « la substantifique moëlle – l’aboutissement de toutes les rencontres » sera envoyée, selon le ministre du Travail, au Conseil supérieur pour la privatisation, qui se réunira « très prochainement ». C’est ensuite que sera rédigée une formule de réglement définitive. Elle sera transmise au Conseil des ministres, qui prendra la décision adéquate. « Tout le monde reste attaché à ce que tous les employés continuent de travailler », a également soutenu Ali Kanso. Quant à Jean-Louis Cardahi, il a fermement nié les rumeurs suivant lesquelles si les deux sociétés vont continuer à œuvrer durant les cinq prochains mois, c’est d’abord pour que leurs véritables recettes restent secrètes et, ensuite, pour les opérations d’écoutes téléphoniques. « Le Conseil des ministres, outre sa décision de proroger le travail des deux sociétés, a également accepté l’initiative du ministre du Travail – celle visant à superviser entièrement, en ce qui concerne les recettes des deux sociétés, les finances, la technique, le fonctionnement et les opérations commerciales », a-t-il indiqué. Soulignant qu’il n’avait « rien à voir » avec les opérations d’écoutes téléphoniques. Ali Kanso a également rappelé aux journalistes, qui attendaient au sortir de la réunion, que les employés de Cellis avaient demandé au ministère du Travail de bien vouloir servir de médiateur. « Nous avons débuté cette médiation, et nous allons la poursuivre, en coordination avec le ministre des Télécoms et le Conseil supérieur pour la privatisation (CSP). » Interrogé sur des rumeurs d’amendement de la loi sur les indemnisations, il a répondu que « rien n’est définitif pour l’instant. Le débat à ce sujet reste entre les seules mains des ministres du Travail et des Télécoms, ainsi que du (CSP). Je souhaite que les employés poursuivent leur travail, parce que rien ne compense, n’indemnise la pérennité de l’emploi. Et si nous devions choisir, eh bien nous opterons pour cela », a-t-il affirmé. Jean-Louis Cardahi a confirmé ensuite son but : « Assurer la pérennité de l’emploi des salariés du secteur, qui sont compétents. Nous allons redoubler d’efforts pour y parvenir ». Interrogé sur le point de savoir si les 800 salariés conserveraient leur poste, il a souligné que « quiconque gérera ce secteur public aura besoin de ce nombre d’employés, et la pérennité se fera dans le cadre des mêmes contrats de travail ». Rappelant que ce qui a été décidé, pour la période allant jusqu’au 31 janvier 2003, c’est le succès de l’opération d’appel d’offres. « Tout ce que nous souhaitions, au cours des semaines précédentes, était d’assurer les mêmes chances et les mêmes opportunités à l’ensemble des investisseurs », a-t-il assuré. Niant d’autres rumeurs selon lesquelles il n’y aurait ni adjudication, ni enchères internationales.
Le ministre des Télécommunications, Jean-Louis Cardahi, et son collègue au Travail, Ali Kanso, ont entamé hier la première phase de leurs consultations, en accord avec la décision prise par le Conseil des ministres. Une décision visant à leur confier conjointement l’élaboration d’une étude consacrée aux salariés de la téléphonie mobile. Une étude dont « la...