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Actualités - CHRONOLOGIE

Environnement - Le mouvement de protestation se prolongerait jusqu’au 15 juillet Les chauffeurs de minibus se rebellent, les Beyrouthins écopent(photo)

En l’absence de développements politiques notables, l’actualité sur la scène locale est braquée, pour l’heure, sur les multiples problèmes socioéconomiques auxquels sont confrontés les Libanais à différents niveaux. À la suspension de la correction des épreuves du baccalauréat – en raison d’une grève des enseignants du secteur secondaire public – et à la grave crise qui frappe le secteur hospitalier (voir par ailleurs), vient s’ajouter depuis quelque temps le dossier de l’interdiction du mazout utilisé par les véhicules de transport en commun. Les automobilistes circulant à Beyrouth ont vécu hier sur ce plan une journée infernale. Les chauffeurs de minibus ont, en effet, bloqué la circulation dans divers secteurs de la capitale, jusqu’en début d’après-midi, pour protester contre la décision du gouvernement de prohiber, à partir du 15 courant, les moteurs diesel. Des centaines de chauffeurs de vans ont, notamment, organisé un rassemblement au niveau de Nahr el-Mott et de Zalka, de sorte que les automobilistes ont été bloqués pendant près de cinq heures dans leurs voitures. Les protestataires affirment qu’ils fermeront à la circulation « toutes les routes de la capitale, tous les jours, jusqu’au 15 juillet ». Le calendrier et le détail de ce mouvement de contestation, notamment pour ce qui a trait aux régions qui risquent d’être touchées, ne seront toutefois connus qu’à la dernière minute, indiquent les responsables syndicaux. Page 3
En l’absence de développements politiques notables, l’actualité sur la scène locale est braquée, pour l’heure, sur les multiples problèmes socioéconomiques auxquels sont confrontés les Libanais à différents niveaux. À la suspension de la correction des épreuves du baccalauréat – en raison d’une grève des enseignants du secteur secondaire public – et à la grave...