La Coupe des Mousquetaires à un « matador »(photo)

On attendait l’Espagnol Ferrero. Ce fut Costa l’Espagnol. Dans cette finale hispanique de Roland-Garros, le vainqueur ne pouvait que brandir la Coupe des Mousquetaires (en hommage aux quatre qui firent autrefois les beaux jours du tennis français et continental) et, coup de chapeau à son pays, arborer une coiffe de matador de fantaisie (notre téléphoto AFP). La veille, la finale dames de ces Internationaux de France avait été une affaire de famille : entre les sœurs Williams, Venus et Serena, la victoire revenant à la cadette, plus athlétique et moins marquée par ses matches des derniers jours. Pendant ce temps, au GP du Canada, Schumacher. Encore lui… À l’autre bout de la planète, les grandes lignes de ce que seront les jours à venir dans le Mondial 2002 de football commencent à se dessiner. On sait déjà que le Brésil est qualifié, que la France va être soumise demain à rude épreuve face au difficile Danemark, que l’Italie doit, elle aussi, faire ses preuves après sa défaite face aux Croates. Et surtout que le Japon aura été, ce week-end, la révélation du tournoi, étant parvenu à défaire la Russie. Pages 12, 13, 14, 15