Rechercher
Rechercher

Actualités - CHRONOLOGIES

BASKET-BALL - NBA - Il faudra compter avec Toronto

Toronto est désormais seul à représenter fièrement la bannière canadienne en NBA après le départ de la franchise installée à Vancouver. Les Grizzlies ont passé la frontière pour poser leurs valises à Memphis tandis que les Raptors s’inscrustent, avec un succès certain, à Toronto. À la fois patiente et ambitieuse, cette équipe s’est donné les moyens de viser encore plus haut que la saison où elle a failli jouer la finale de la Conférence Est, poussant les Sixers de Philaldelphie à disputer un septième match fatidique en demi-finale. Candidats déclarés au titre de champion régional, les Canadiens du coach Lenny Wilkens ont l’intention de démontrer que le championnat ne se résume pas à la Conférence Ouest et aux seuls Lakers. Pour parvenir à leurs fins, ils ont posé pas moins de 258 millions de dollars sur la table pendant l’intersaison, conservant ainsi toute l’ossature de leur équipe. Un tel statu quo n’avait au printemps dernier rien d’évident, d’autant que Toronto s’était résigné à laisser partir ses meilleurs élements les années précédentes. Mais finalement, même Vince Carter, qui fait partie du trio de tête des meilleurs scoreurs en ce début de championnat, a resigné pour... six saisons supplémentaires et 94 millions de dollars. L’autre gros coup est l’arrivée au Canada d’un certain Hakeem Olajuwon. Même à 38 ans, et après 17 saisons vécues à Houston où il faisait partie du paysage, ce vétéran reste un élément de première force. «Je voulais une équipe où je sentais que l’on me désirait pour mon jeu», a sobrement commenté «The Dream» engagé pour trois ans. Outre Carter, l’élément-clé des Raptors, il cohabite également avec le pivot Antonio Davis et les deux Williams – l’ailier Jérôme et le meneur Alvin. Tous ces garçons ont des contrats allant de cinq à sept ans, ce qui démontre la volonté de stabilité recherchée par Glen Grunwald. Le «general manager» des Raptors s’était déjà signalé en réalisant sept transferts durant la précédente saison au cours de laquelle Toronto a gagné les deux tiers de ses 45 derniers matches, play-offs compris. C’est ce que l’on appelle préparer le terrain. Voilà pourquoi, cette année, il faudra sûrement compter avec Toronto, une franchise vieille de six ans seulement, et actuellement quatrième de Conférence. Jordan consulte un médecin à Chicago pour des douleurs aux genoux Michael Jordan devait consulter un médecin de Chicago, ce dimanche, pour en savoir plus sur des douleurs aux genoux, ont indiqué les Washington Wizards, le club du Championnat nord-américain de basket-ball (NBA) au sein duquel Jordan a fait son retour en septembre, après trois ans de retraite. «Je vais consulter le docteur Heffron pour m’assurer que je n’ai rien d’autre qu’une tendinite et un gonflement», a expliqué Jordan samedi après la défaite de Washington à Orlando (96-87), match au cours duquel Jordan n’a marqué que 15 points, manquant 9 de ses 10 derniers tirs. John Heffron est l’ancien médecin des Chicago Bulls, avec lesquels Jordan a remporté six titres de champion NBA. Michael Jordan, 38 ans, est handicapé par une tendinite aux genoux, plus particulièrement au genou droit, depuis son entraînement estival. Cette saison, il figure à la 6e place des meilleurs marqueurs NBA, avec 25,5 points de moyenne par match.
Toronto est désormais seul à représenter fièrement la bannière canadienne en NBA après le départ de la franchise installée à Vancouver. Les Grizzlies ont passé la frontière pour poser leurs valises à Memphis tandis que les Raptors s’inscrustent, avec un succès certain, à Toronto. À la fois patiente et ambitieuse, cette équipe s’est donné les moyens de viser encore...