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Actualités - CHRONOLOGIES

Partis politiques - Kataëb et CGTL - sur une même longueur d’onde

«Il faut parvenir à un nouveau pacte social entre l’État, le patronat et les salariés pour prévenir d’éventuelles explosions ; le dialogue entre ces trois parties devrait donc être engagé». C’est ce qu’a indiqué hier le chef du parti Kataëb, Karim Pakradouni, à l’issue d’une visite effectuée au siège de le CGTL. Les propos de M. Pakradouni ont été approuvés par le président de la CGTL, Ghassan Ghosn. La délégation du nouveau directoire du parti Kataëb était formée notamment de Karim Pakradouni, Rachad Salamé, Émile Eid, Joseph Kassaïfi, Jade Nehmé, Gabriel Karam, Georges Chahine et Halim Matar. Elle a rencontré le conseil du bureau de la CGTL, présidé par Ghassan Ghosn. Présentant les bienfaits d’un dialogue entre l’État, le patronat et les salariés, M. Pakradouni a énuméré plusieurs dossiers en suspens, notamment ceux de la Caisse nationale de sécurité sociale, de la fusion des services de différentes caisses d’assurance maladie, de l’éducation et l’habitat. «Tout comme la CGTL, nous ne sommes pas partisans d’une hausse des salaires, mais nous appelons à la distribution d’allocations sociales essentielles », a souligné le nouveau chef du parti Kataëb. Se penchant sur le rôle du parti qu’il préside dans la vie politique, M. Pakradouni a indiqué qu’il aspire «à rétablir la représentation chrétienne au sein de l’État ». «Nous voulons que les Kataëb soient les catalyseurs d’un tel mouvement », a-t-il dit préconisant «la mise en place d’un large front politique à cette fin ».
«Il faut parvenir à un nouveau pacte social entre l’État, le patronat et les salariés pour prévenir d’éventuelles explosions ; le dialogue entre ces trois parties devrait donc être engagé». C’est ce qu’a indiqué hier le chef du parti Kataëb, Karim Pakradouni, à l’issue d’une visite effectuée au siège de le CGTL. Les propos de M. Pakradouni ont été approuvés...