L’ancien chef de l’État Amine Gemayel, invité à déjeuner à Moukhtara par Walid Joumblatt, a répondu, lui aussi, aux questions de L’Orient-Le Jour. C’est votre deuxième visite à Moukhtara, et elle s’inscrit dans le cadre d’une journée que tout le monde qualifie d’historique. «Je pense que mon arrivée à Beyrouth a ouvert la voie. Elle a déclenché un processus qui commence à prendre corps. Et la visite du patriarche à Moukhtara scelle une réconciliation. Tout le monde devrait profiter de cette réconciliation. Elle est nationale – sa dynamique est nationale : d’autres communautés du Chouf y participent». Et la suite ? Comment faire pour la suite ? «Le tout est de prendre conscience de l’importance de cette dynamique, de tout faire pour la développer». C’est un message aux trois présidents ? «C’est un message à l’État, aux plus hauts sommets. Un message à toute la classe politique libanaise».
L’ancien chef de l’État Amine Gemayel, invité à déjeuner à Moukhtara par Walid Joumblatt, a répondu, lui aussi, aux questions de L’Orient-Le Jour. C’est votre deuxième visite à Moukhtara, et elle s’inscrit dans le cadre d’une journée que tout le monde qualifie d’historique. «Je pense que mon arrivée à Beyrouth a ouvert la voie. Elle a déclenché un processus...
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