Rechercher
Rechercher

Actualités - CHRONOLOGIES

La fragilité du cessez-le-feu - israélo-palestinien

Kofi Annan, qui venait d’Amman après s’être rendu au Caire et à Damas, s’est dit «heureux» à l’AIB du cessez-le-feu intervenu entre Israéliens et Palestiniens. «Mais il ne durera pas s’il n’est pas inscrit dans un processus politique plus large», a-t-il affirmé. Le secrétaire général de l’Onu a estimé que les recommandations du rapport Mitchell pourraient faire redémarrer les négociations entre les deux antagonistes, tout en relevant que «cette occasion pourrait ne pas durer longtemps». «Il faut la saisir tant qu’elle est là, et pour cela, nous avons besoin de calme et de stabilité dans la région», a-t-il dit avant de poursuivre : «L’ensemble de la communauté internationale doit multiplier les efforts pour parvenir à une paix globale et permanente, basée sur les résolutions 242 et 338». Le ministre Hammoud a indiqué pour sa part que «la poursuite du retrait des forces d’occupation israéliennes du Liban et du Golan syrien jusqu’aux frontières du 4 juin 1967 ainsi que le droit au retour dans leurs foyers des réfugiés palestiniens» allaient être évoqués avec M. Annan.
Kofi Annan, qui venait d’Amman après s’être rendu au Caire et à Damas, s’est dit «heureux» à l’AIB du cessez-le-feu intervenu entre Israéliens et Palestiniens. «Mais il ne durera pas s’il n’est pas inscrit dans un processus politique plus large», a-t-il affirmé. Le secrétaire général de l’Onu a estimé que les recommandations du rapport Mitchell pourraient...