L’ancien député Najah Wakim a qualifié l’accord de Taëf de «galéjade» et accusé la Syrie de paralyser toute vie politique au Liban. Dans une interview qui paraîtra aujourd’hui dans le magazine Dabbour, l’ancien député de Beyrouth a ajouté que «le maintien de la présence syrienne au Liban ne revêt aucun aspect sécuritaire et ne vise qu’à attiser le confessionnalisme et le sectarisme». Pour M. Wakim, «les Américains ont accordé à la Syrie la moitié de la carte libanaise en échange des cartes jordanienne et palestinienne». Il a également affirmé que «les États-Unis redessinent actuellement la carte de la région et cherchent à la faire exploser par le truchement des détonateurs libanais et jordanien». Au plan financier, M. Wakim a affirmé que «deux banques israéliennes, dont la Leumi Israël, avaient acquis des actions Solidere par l’intermédiaire du banquier Edmond Safra» assassiné en Europe dans des circonstances mystérieuses. Toujours sur le même plan, «la plus grande opération de pillage au Liban se déroule sous le slogan du maintien de la valeur de la livre libanaise», a conclu M. Wakim.
L’ancien député Najah Wakim a qualifié l’accord de Taëf de «galéjade» et accusé la Syrie de paralyser toute vie politique au Liban. Dans une interview qui paraîtra aujourd’hui dans le magazine Dabbour, l’ancien député de Beyrouth a ajouté que «le maintien de la présence syrienne au Liban ne revêt aucun aspect sécuritaire et ne vise qu’à attiser le...
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