Actualités - COMMUNICATIONS ET DECLARATIONS
La polémique Hariri-Nasrallah, preuve de l’absence de décision libre, selon le PNL
le 24 février 2001 à 00h00
Le Parti national libéral (PNL) a commenté hier la polémique qui a opposé cette semaine le Premier ministre Rafic Hariri au secrétaire général du Hezbollah, cheikh Hassan Nasrallah, estimant, non sans ironie, que M. Hariri «avait bien fait de se rétracter». «Dans le cas contraire, il se serait démarqué de la ligne de conduite tracée par le président syrien» dans son interview au quotidien al-Charq el-Awsat, a souligné le parti, réuni hier sous la présidence de M. Dory Chamoun. Estimant que cette polémique constitue une «preuve évidente de l’absence de décision libre», le PNL a réclamé la présentation par la Syrie d’un mémorandum établissant la libanité des hameaux de Chébaa, et la poursuite du traçage de la frontière libano-syrienne. Le PNL a par ailleurs commenté la polémique entre la direction de la Sûreté générale et l’ancien Premier ministre, le général Michel Aoun. «Le général Aoun a confirmé, à travers son communiqué, ses prises de position concernant la description de la réalité du Liban, qui ploie sous l’hégémonie syrienne», a noté le PNL.
Le Parti national libéral (PNL) a commenté hier la polémique qui a opposé cette semaine le Premier ministre Rafic Hariri au secrétaire général du Hezbollah, cheikh Hassan Nasrallah, estimant, non sans ironie, que M. Hariri «avait bien fait de se rétracter». «Dans le cas contraire, il se serait démarqué de la ligne de conduite tracée par le président syrien» dans son...
Les plus commentés
La Suisse remporte le concours de l'Eurovision marqué par les tensions autour d'Israël
Ciblé par des « menaces de mort », Farès Souhaid appelle le parquet à se saisir de l'affaire
Pédophilie sur TikTok : conflit judiciaire autour d'une audition des mineurs arrêtés