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Actualités - COMMUNICATIONS ET DECLARATIONS

La polémique Hariri-Nasrallah, preuve de l’absence de décision libre, selon le PNL

Le Parti national libéral (PNL) a commenté hier la polémique qui a opposé cette semaine le Premier ministre Rafic Hariri au secrétaire général du Hezbollah, cheikh Hassan Nasrallah, estimant, non sans ironie, que M. Hariri «avait bien fait de se rétracter». «Dans le cas contraire, il se serait démarqué de la ligne de conduite tracée par le président syrien» dans son interview au quotidien al-Charq el-Awsat, a souligné le parti, réuni hier sous la présidence de M. Dory Chamoun. Estimant que cette polémique constitue une «preuve évidente de l’absence de décision libre», le PNL a réclamé la présentation par la Syrie d’un mémorandum établissant la libanité des hameaux de Chébaa, et la poursuite du traçage de la frontière libano-syrienne. Le PNL a par ailleurs commenté la polémique entre la direction de la Sûreté générale et l’ancien Premier ministre, le général Michel Aoun. «Le général Aoun a confirmé, à travers son communiqué, ses prises de position concernant la description de la réalité du Liban, qui ploie sous l’hégémonie syrienne», a noté le PNL.
Le Parti national libéral (PNL) a commenté hier la polémique qui a opposé cette semaine le Premier ministre Rafic Hariri au secrétaire général du Hezbollah, cheikh Hassan Nasrallah, estimant, non sans ironie, que M. Hariri «avait bien fait de se rétracter». «Dans le cas contraire, il se serait démarqué de la ligne de conduite tracée par le président syrien» dans son...